Mince, je vois mes mains en double. Je glousse doucement avant de m'assoir correctement sur le divan. Mes joues me font mal à force de sourire niaisement mais je n'arrive pas à arrêter de sourire et ma tête commence sérieusement à être lourde. Alors que Dean raccompagne son cinquième client de la soirée je prends place sur sa table de tatouage et enlève les boutons de mon chemisier un à un.
"-Qu'est ce que tu fais ?
-Je suis la prochaine cliente.
Son regard suis mes mouvements alors que je glisse mon vêtements doucement sur mes épaules pour l'enlever, montrent un soutien-gorge blanc basique. J'aurai dû acheter même que Bella. Je ricane à ma propre pensé.
-Tu es déchiré Esmée. Il chuchote en ferment le volé de la seule fenêtre qui montre l'intérieur de la pièce par le couloir.
-Et alors ? Tu seras payer pour le travail que tu vas fournir.
Il se rapproche de moi, les yeux dans les yeux.
-Et tu veux te faire tatouer quoi ? Une petite couronne ? Un papillon ? Un chaton ?
-Non, un petit cœur.
Il rigole franchement.
-Pourquoi te moque tu de moi ?
-Et où veux tu le faire ? Sur la clavicule ?
-Non, là.
Je désigne l'écart entre mes deux seins le faisait arrêter de rire, les yeux plongé dans mon décolleté.
-Ça te pose un problème ?
Ses yeux remonte difficilement jusqu'aux miens et un petit sourire prend place sur sa bouche.
-Si je le fais, tu va le regretter demain.
-Non.
-Si.
Alors qu'il allait partir une de mes jambe le verrouillé à l'arrière du genou lui faisant perdre son sourire.
-Dit donc, on dirai que la drogue de rends sauvage.
-Si tu ne veux pas que je te griffe, fait ce que je te demande alors. Je lui ordonne en rapproche son visage du mien.
Ses yeux me perce la peau encore une fois. Il doit peser le pour et le contre de la demande.
-Très bien. Allonge toi alors.
Je lui montre mes dents avant de m'allonger, retirent machinalement mes chaussures pour ne pas salir la table.
-Je vais devoir étiré un peu ta peau donc touché ta poitrine. C'est bon pour toi ?
J'hésite quelques secondes avant de lui donner ma permission par un mouvement de tête. Je ferme les yeux alors que sa main ganté me touche. Je sent ma peau frissonner. L'aiguille touche rapidement ma peau, me faisant grimacer mais la douleur n'est pas aussi terrible que je le pense.
J'ouvre les yeux et attrape le joint qu'il a dans la bouche pour le porter à la mienne. Je lui cache la fumé à la figure le faisant lever les yeux un instant sur moi. Je lui replace le tube entre ses lèvres chaudes, les frôlent de mes doigts. Elles ont l'air si douce alors que sa peau à l'air rugueuse. Le fourmillement s'arrête entre mes seins m'indiquent qu'il a fini. Je me lève manquent de tomber. Mes pieds touchent le béton froid. J'ai l'impression qu'il fait si chaud dans la pièce. J'observe de près le tatouage. Je pensais qu'il allait me fais un simple coeur. Mais l'intérieur est rempli de rouge et il a réalisé des ombres tout autours de son dessin.
-Ça te plaît ?
Je sursaute.
Je ne l'avais pas entendu se placer derrière moi.
-Oui, merci...
Sa grande main m'oblige à me retourner, il se penche légèrement et nettoie son œuvre. Ses doigts son maintenant nus au contact de ma peau. Et je suis presque sûr qu'il les avait gardé pour les autres clients. Sa peau chaude me donne un sentiment de bien-être malgré moi alors qu'il me terrorisé il y a encore une heure. Le seul homme avec qui je suis si proche est Jas mais c'est compliqué. Je rigole seule malgré moi.
-Qu'est ce qui te fait rire ? Me demande le brun en allant ranger son matériels.
Je laisse mon dos tomber mollement sur le lit.
-Ton matelas n'a pas l'air confortable. Il est trop dure.
-Rabille toi. M'ordonne t'il en me jettent mon chemisier.
Je me redresse difficilement mettent mes bras dans mes manches et de me relaisser tomber sur le lit. J'attrape un coussin avant le mettre sous ma tête. J'ai maintenant faim et très envie de dormir. Je l'entends ouvrir un bière et quelques instants après le lit s'affaisse à côté de moi. Je me rends compte que mes yeux s'étaient fermés, je les ouvre le peu que je puisse le faire.
Je l'observe boire sa bière alors qu'il tape quelque chose sur son téléphone. Me rappellent vaguement qu'il devait me prêter son chargeur, il me semble. Mais mon corps est prise d'une fegnentise comme il n'a jamais connu au part avant. Ma bouche est pâteuse. Je me redresse comme je peux et lui demande sa bière en la désignant d'un geste de la main. Il se lève part chercher une petite bouteille d'eau et revient au près de moi. Je le remercie d'un signe de la tête et ouvre avec difficulté la bouteille. Je n'ai plus aucune force. Je sent l'eau dégouliner sur mon menton, mon coup puis ma poitrine alors que j'essaye du mieux que je peux de boire. Je rougis de honte. J'ose jeter un coup d'oeil au brun qui suit le filet d'eau des yeux, ravalent sa salive.
-A quoi pense tu ? Je demande difficilement par peur qu'il se moque encore de moi.
-Que ma main ferait un magnifique collier autour de ton coup.
Je pali, un coup de jus traverse ma féminité et j'ai l'impression qu'il se rends compte que cette phrase est sortit toute seule de sa bouche. Il ne s'écarte pas pour autant de moi et machinalement mes yeux trouves ces mains. Jas ne m'a jamais dit quelque chose pareil.
-Je croyais que j'étais une gamine ennuyeuse. Je déclare en lèvent enfin les yeux.
-C'est plutôt existant chez toi.
Je reste estomaquée par son franc parlé. Je ralave ma salive ne sachent pas quoi répondre alors que l'observe finir sa bière.
-Ton téléphone.
-Quoi mon téléphone ?
-Pour le charger.
J'ouvre les yeux en gros, j'aurai dû y penser plutôt. Je serais déjà partie et pas dans cette situation.
Je l'attrape et le dépose dans sa main. Mes yeux le suive alors qu'il part le mettre à changer. Je me lève avec difficulté à mon tour. La musique résonne encore mais son studio doit être insonorisé.
-Tu devrais fermer ça. Chuchote t'il en ferment les boutons de mon chemisier à ma place.
Ses doigts frôle ma peau et je ne peux m'empêcher de fermer les yeux à son contact. Je sens sa respiration saccadé sur mon visage, une de ses mains tire sur une de mes tresses, lèvent ma visage.
-Tu as de la chance d'être défoncer.
-Pourquoi ? Je demande en ouvrant les yeux.
-Veux tu réellement le savoir ?
Son autre main carresse mon coup.
-J'ai très envie de péter ses boutons Esmée...
Je sens mon entre-jambes s'humidifier et le bas de mon ventre se réchauffer encore plus. Comment arrive t'il à faire ça ?
-Ça serrait dommage, c'est mon chemisier préféré...
Il ricane doucement.
-Et je ne suis pas sûr que ton copain appréciré.
-Effectivement... Je répond me souvenant soudainement de Jas. Comment sais tu que j'ai un copain ?
-Je vous est vu de loin un jour. Vous allez bien ensemble.
-Parce qu'on a l'air ennuyeux ?
-Il à l'air d'être le petit copain idéal.
Je hausse les épaules alors que son regard se balade partout sur mon visage. Je sens soudainement ses doigts retirer mes élastiques et les passer dans mes tresses pour les défaire. Il se recule de quelques centimètres et l'observe.
-J'ai besoin d'une autre bière."
