𝕭𝖆𝖐𝖚𝖌𝖔 𝖔𝖗 𝕯𝖊𝖐𝖚 ? 𝓛𝓮 𝓭𝓮́𝓫𝓾𝓽 𝓭'𝓾𝓷𝓮 𝓯𝓲𝓷 [ EN RÉÉCRITURE ]

𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 47

Point de vue Bakugo

Je n'ai pas vu pire comme arrivé, je reviens tout juste de "vacances" et mes yeux commence déjà à bruler. Voir deux saleté ce bisouter dès le matin...je vois d'or et déjà mon petit déjeuner ressortir de ma gorge.

Comment on peux aimer un connard pareil ? je ne vois vraiment pas ce qu'il a de plus que moi, je prend la peine de les ignorés et reste là a attendre l'arrivé du prof accompagné de la batterie externe qui ne cesse de me coller depuis qu'il sait que nos chambres sont voisines.

Le prof fais sont arrivé comme d'habitude armé de son gros sac de couchage jaune pour pouvoir dormir alors que nous essayons de faire cours. Je rentre en salle et la face de brocolis ose me bousculer "sans faire exprès" pour pouvoir lui aussi prendre sa place derrière moi, déjà qu'il me donne la gerbe, il continue de me les briser.

Je n'ai gère le temps d'ouvrir la bouche puisqu'il s'agenouille en implorant mon pardon car il sait qu'il allait passer un sale quart d'heure.

Je m'assoie muet comme une carpe et regarde les autres élèves s'installer en classe, éteint mon téléphone et le place dans la poche avant de mon bas d'uniforme. Je sors mes affaires et Aizawa nous annonce qu'il y aura un contrôle surprise pour cette rentré scolaire.

Ayant révisé durant mon confinement, je sais déjà que je métrise la matière et que je n'aurai aucune difficulté comme d'habitude, or les autres d'élèves de cette classe de merde qui est sois disant "l'élite" de ce lycée n'est vraiment pas du même avis que moi puisque qui râlent sans cesse. Ils ne sont jamais content.

Le prof distribue les copies sans pitiés laissant ainsi cette foutu classe dans la merde, ce qu'il fera ressortir ma note de la moyenne et donc, me mettre en avant comme d'habitude.

Je commence à rédiger lorsque j'entend le merdeux de voisin de derrière marmonner dans sa barbe se qui ne fais que de me déconcentrer, à bout de nerfs je perd mes moyens et l'engueule devant tout le monde brisant ainsi le silence qui pesait dans cette salle.

Aizawa: Bakugo et Midoriya une heure de colle se soir pour communication durant un examen écrit.

Bakugo: MAIS C'EST LUI QUI PIALLE DEPUIS LE DEBUT DE L'HEURE J'AI RIEN A VOIR LA DEDANT MERDE !

Aizawa: Tu veux une heure de plus ? J'ai du temps libre surtout que le système d'internat à été imposer pour tout le monde.

J'en peux plus, le pire dans tout ça c'est que ce peureux ne dit toujours rien face à cette injustice, il va morfler et ça je peux lui assurer .

La colère m'aveugle, j'ai envie de lui briser les os, je me sens incapable d'écrire quoi que ce soit sans m'être défouler d'abord, j'ouvre la fenêtre a côté de moi contre l'autorisation de ce putain de prof qui ne dors que lorsqu'on a besoins de lui.

Il fais encore plus chaud à l'extérieur qu'à l'intérieur, le rayon de soleil me tape dans l'oeil et fais briller ma copie, je sue alors que je viens tout juste de prendre ma douche, décidément aujourd'hui il n'y a rien qui vas.

...

Point de vue Zina

La fin des cours de cette matinée est là, je commence sérieusement à avoir un petit creux , il est actuellement 13 heures et nous pouvons enfin aller a la cantine ou à la cafétéria.

Toru et toutes les autres filles m'invite à manger avec elle, je ne peux donc pas refuser, nous prenons chacun notre plateau puis s'installe à une énorme table, c'est la dernière heures de repas, il n'y a donc pas grand monde.