𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 52

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Point de vue Bakugo

Une fois que l'autre con est fini d'être soigné, je me lève mais il me stoppa dans mon élan lorsque je le vois s'approcher d'elle, elle même ne s'attendais pas a ce qu'il vienne à elle, il se penche à son niveau et lui dis d'un air rassurant.

Izuku : Tout ira bien, prend soins de toi, ok ?

Il glisse l'une de ses mains dans sa chevelures pour la mettre a son arrière et dépose un doux baiser protecteur sur son front plein de sueurs.

Un léger picotement viens pincer mon coeur, bien que je ne suis pas jaloux, les voirs s'aimez comme si il était fait l'un pour l'autre me fous la haine car je sais que je ne connaîterai plus jamais cet sensation.

C'est toujours ça avec l'amour, sa arrive toujours a tout le monde sauf a moi, ils rencontrent quelqu'un qu'ils aimerons jusqu'à leurs fin tout en se tenant la main pour toujours.

Moi, je rencontre quelqu'un, je tombe amoureux, je l'insulte et la prend de haut et sans même avoir le temps de me rattraper  j'apprends qu'elle est morte quelques mois après.

Si après ça je fini par avoir des sentiments pour une putain de meuf inutile, c'est que je suis une grosse pute.

Elle lui sourit en étant encore plus rouge que mes cicatrices encore fraîches, un frisson de gêne me parcoure le corps, l'humeur qui était du moin potable que j'ai eu pendant une énième de seconde a disparue en un rien de temps.

La boule au ventre je suie All Might jusqu'au bureau d'Aizawa et salue l'infirmière. Ça sent la merde cette histoire.

Une fois devant la porte All Might nous rassure avec son vieux sourire avant de nous laisser entrer sans lui.

Le prof n'attend pas une seconde pour nous attraper avec son ruban, il gueule jusqu'a se qu'il deviennent incompréhensible.

Aizawa: Qui a commencé ?!

Izuku: Hum j-e -bh-mh.

Bakugo: Moi.

Aizawa: Et t'en est fier sale gosse ! Midoriya tu sera puni de tâche ménagère a l'internat pendant 3 jours,  Bakugo 4, et je ne veux pas vous voir en classe compris ?!

Bakugo: T'as cru que j'etait ta mère pour faire le-

Il resserre son ruban.

Aizawa: Quoi ?! Vas-y dit nous !

Bakugo: Rien.

Il nous laisse repartir dans nos chambre respectives, le jours est déjà presque levé, nous sommes en été le soleil se lève donc plus tôt que prévus et ça me les brise.

Je charge mon téléphone qui n'avait déjà presque plus de batterie et me jette ne arrière sur mon matelas qui sent encore le renfermer.

Une longue et forte chaleurs viens m'étouffer je ne sais si c'est de la colère ou tout simplement la chaleur de cette pièce mais de ce que je sais, c'est que c'est insupportable.

J'ouvre ma fenêtre et regarde a l'extérieur, la brise du matin viens rafraîchir mes zones de sueurs mouillé, sur mon bureau, un paquet de cigarette, je sais d'or et déjà se que je veux faire.

𝕭𝖆𝖐𝖚𝖌𝖔 𝖔𝖗 𝕯𝖊𝖐𝖚 ? 𝓛𝓮 𝓭𝓮́𝓫𝓾𝓽 𝓭'𝓾𝓷𝓮 𝓯𝓲𝓷 [ EN RÉÉCRITURE ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant