𝕭𝖆𝖐𝖚𝖌𝖔 𝖔𝖗 𝕯𝖊𝖐𝖚 ? 𝓛𝓮 𝓭𝓮́𝓫𝓾𝓽 𝓭'𝓾𝓷𝓮 𝓯𝓲𝓷 [ EN RÉÉCRITURE ]

𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 64

Point de vue Shoto

Je n'en crois pas ses paroles, mon coeur pèse lourds, comment peut t-elle me dire une chose pareille tout en restant sincère et calme comme elle l'est.

Mille et une se créée dans ma tête, ils sont ensemble ? Elle lui a déjà dit ? elle veut pas que je le sache ? Ils cachent leurs relations ensemble comme je le fais avec Momo ? Et si c'était bien pire que sa et qu'il lui à fait du mal et qu'il la forcer à être bien avec elle alors qu'elle ne l'ai pas , qu'elle sois réellement en danger ? Et voilà que je recommence ...

Elle continue sa route me laissant ainsi en plan devant la porte d'entré du lycée, elle s'avance vers l'internat, le nez plongée sur son téléphone, elle a l'air d'en avoir complétement rien à faire de moi, elle ne me lance aucun regard, s'en ai presque frustrant.

Point de vue Bakugo

Je décide de le lever du banc car il commence à faire frais à l'extérieur, si je veut tout niquer demain à l'aube, il me faut un sommeil d'acier.

Mes fesses regagne aussi tôt le banc lorsque j'entends la voix de Todoroki parler au téléphone, de ce que j'entends elle parle avec ce Deku de mes deux ...

Je reste dans l'ombre pour écouter ce qu'elle est entrain de lui dire.

Zina : Ce n'est pas grave reste avec les autres je suis presque arriver moi.

Zina: Ha ha ha. Arrête tes conneries qu'es qui peut m'arriver en si peut de temps ? Ne t'inquiète pas moi je te les défonce ces vilains !

 Zina : Ah bon ?

Zina: Non vraiment je n'ai rien contre elle moi pourquoi ?

Zina: Et qu'elle est le rapport avec moi Izuku ?

Zina: C'est elle qui t'a dit ça ?

Zina: Ouais bah ne suppose pas ce genre de chose, je n'ai rien à voir avec lui moi.

Zina: Peut être mais tu le connais hein , c'est pas de sa faute de ne pas doser ses mots.

Zina: Vas-y on se vois après.

Plus rien

J'entends ses petit pas monter le marche pied avant de tirer la porte pour entrer.

Je me demande qu'es qu'elle lui trouve pour réussir à le supporter comme sa, il a la gueule d'un putain sac de frappe que je n'aurai pas de mal à démonter.

Un vrais couple de casse couille ses deux là.

J'attends au moins 5 bonnes minutes avant de me décider à entrer à l'intérieur pour aller me coucher directement en passant par la salle de bains pour me laver les canines.

Une fois dans mon lit mon coeur bat à tout rompre lorsque je vois une notification peu commune depuis un certains moment.

Notification muette:

La vieille            il y a dix minutes.                       
 
-Désolée mon chéri je ne peux pas te répondre pour le moment, on se voit ce week-end ?

Je ne l'écoute pas et finir par l'appeler en espérant que je puisse entendre sa voix à travers mon écran, je sais que ma mère n'a qu'une seule parole et qu'elle est casse couille, jamais elle me répondra, je fini par lui répondre par messages à contre ma volonté.

- Oublie pas de m'ouvrir la porte, vieille peau.

Je pose mon téléphone sur mon matelas avant de m'affaler complétement sur celui-ci, au fond je suis plus refait que jamais, ma mère ne m'a pas abandonnée comme je l'aurai pensée, juste savoir que je l'ai encore à mes côté me réchauffe le coeur.