𝕭𝖆𝖐𝖚𝖌𝖔 𝖔𝖗 𝕯𝖊𝖐𝖚 ? 𝓛𝓮 𝓭𝓮́𝓫𝓾𝓽 𝓭'𝓾𝓷𝓮 𝓯𝓲𝓷 [ EN RÉÉCRITURE ]

𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 68

Juste avant que tu commence à lire ce chapitre, je tiens à te remercier d'être venue sur ce chapitre et que tu apprécie mon contenue, sur ceux je te souhaite une bonne lecture.

Point de vue Bakugo

Ces paroles résonne dans ma tête, je n'arrive tout juste pas à croire ce que sa gueule viens de sortir devant tout le monde avec autant de simplicité, ma mère adore me piquer à la base mais étais-ce de l'humour cette fois-ci ? Je ne pense pas une putain de seconde.

Un énorme blanc s'impose dans cette putain de salle à manger, mes mains tremble à tout rompre, les battement de mon coeur remonte jusqu'aux oreille, je vis rouge et flou, les larmes coulent sans le savoir et la chaleur m'envahis, je ne reste pas une secondes de plus et monte les escaliers en courant dans ma chambre pour m'y enfermer.

Ses paroles résonnais de la même façons que les paroles de mon père lorsque j'échouais, ma naissance à causer problèmes à tout le monde, si ma mère n'aurais pas été enceinte de moi à l'époque, mon père ne serait pas aller ailleurs pour se vider et ruiner la vie de la fille que j'aime. Si je ne serait pas née, ma mère n'aurait jamais été séquestrer.

Ses paroles me blessais, mais venant de ma mère, elles sont encore bien pire et je ne peux lui en vouloir...

Je n'arrive plus à me contrôler ma colère & explosions, j'essaie tant bien que mal d'hurler dans mon oreiller et le serrer de toute mes forces pour me calmer je n'y arrive pas, mon poumon me brûle et se tords de douleurs, mon souffle ce saccade et des crampes me viennent, mes yeux s'humidifient tellement que je n'arrive plus à voir correctement, ma tête crie à l'aide mais mes lèvres reste close, la chambre fermé à clé, personne ne pourrai y entrer si il m'arrive quelques chose, en titubant vers ma fenêtre j'essaie de l'ouvrir à bout de force pour espérer avoir de l'air.

Je ne ressent rien et la situation s'empire, j'inspire puis expire mais avec cette état de folie, je ne peux le faire doucement et aggrave mon cas, les larmes coulent à flot et je fini par m'étouffer, mon coeur se resserre, à quatre pattes sur le sol je prie pour ne pas en finir aujourd'hui, j'entends des bruit de pas dans les escaliers du couloirs, j'en déduit peu être que ce soit ma mère et je ne peux tolérer qu'elle me vois dans ce foutu état.

J'entends une voix agaçante hurler à travers ma porte mais je n'arrive pas à savoir de qui es qu'il s'agis ou si cette voix viens de l'extérieur, un simple bruit sonore assourdit mes tympans

 Je ne peux pas encore plus la décevoir qu'elle doit l'être déjà, si elle vois que son putain de fils n'est même pas capable de vivre et de maintenir sa santé, elle me verrait comme faible et je ne pourrais pas le supporter, je m'accroche à la couverture de mon lit tout en recrachant quelques gouttes de sang qui remonte de mes poumons, j'enchaine les toussotement et ma gorge fini par me brûler.

Zina: Bakugo ouvre cette putain de porte me force pas à la forcer ! Bakugo ?!

Qu'elle se la ferme putain... Vieille pute...

Zina: Joue pas à ça je sais que tu m'entends Bakugo ! 

Point de vue Zina

Je ne peux pas casser cette serrure pour si peu, je sais qu'il en faut énormément pour réussir à le blesser il doit seulement faire le gamin et bouder sur son lit mais la façons dont sa mère à prononcer ses mots, je me suis sentie moi même offenser, elle m'a demander de le rattraper, je veux juste m'assurer qu'il va bien, après ça, je pourrai rentrer chez moi le coeur apaiser.