𝕭𝖆𝖐𝖚𝖌𝖔 𝖔𝖗 𝕯𝖊𝖐𝖚 ? 𝓛𝓮 𝓭𝓮́𝓫𝓾𝓽 𝓭'𝓾𝓷𝓮 𝓯𝓲𝓷 [ EN RÉÉCRITURE ]

𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 34

Point de vue Bakugo

Qu'es qui m'veux lui ?

Je clique sur l'écran pour voir son message en entier.

Bakugo je sais que tu es avec elle. Je n'ai pas le temps pour parler avec toi tu as sérieusement intérêt à prendre soins d'elle et a garder tes plus grande distance. On se vois plus tard à ce sujet.

Nan mais il est sérieux le mec là ? Il est clairement entrain de me balancer un discours pour me donner des ordres que je n'ai même pas respecté en plus ? Qu'il aille se faire foutre ce fils de pute.

Je ne comprendrai jamais pourquoi il essaie de faire sans cesse l'hypocrite avec moi, bien qu'il me considère comme un camarade de classe, il aura toujours une dent contre moi, mais bon moi, j'en ai rien a foutre.

Je lui répond d'un simple:

Ferme ta gueule, je fais ce que je veux saleté de double face.

J'entend la brune parler avec quelqu'un au téléphone, je reste devant le chat a jouer avec lui tout en gardant mon attention sur mon écoute.

A mon avis elle parle encore a son putain de brocolis alors ça ne doit pas être bien intéressant.

Pourquoi elle voulais tant rester avec moi si c'est pour qu'elle en appel un autre ? J'ai envie de la cogner s'te grosse connasse.

Le félin commence à m'ingnorer selon son comportement de flemmard, un rien me dit qu'il va aller dormir et en vitesse.

L'ennuie m'occupe je n'ai clairement plus rien a foutre de ma vie mais pas au point d'aller m'ennuyer avec elle, je préfère rester mille fois seul.

Mon regard ce fixe sur le chat qui raude tout doucement dans la maison, mes pensées divague a propos d'hier soir.

C'est vrais que j'ai pas mal kiffer mais je parie que le consentement n'était pas là, son visage était a la fois méfiant et excitant, j'était mitigé entre tout arrêter ou l'a déboité.

Je prendrai un moment pour lui parler de ça mais pour l'instant cela  reste encore frais...je préfère prendre mes distance et laissez le temps faire les choses.

Plus aucun son dans la maison, elle a dû sûrement raccrochée.

Toujours assis sur le carrelage froid en tailleurs,  c'est avec bonne humeur qu'elle viens s'assoir vers moi comme si on était amis.

Bakugo: À l'aise ?

Zina: Ouais merci de demander.

Bakugo: dégage de là t'as cru quoi ?

Zina : J'ai cru que tu étais quelqu'un de beaucoup plus doux que toi .

Bakugo: Avec ta sale gueule ? Jamais de ta vie.

Zina : Un jour peu être.

...un blanc s'installe, les nerfs monte très rapidement face à cette situation plus que malaisante.

Zina : Je peux te poser une question ?