𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 98

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Point de vue Zina

Je cours à toute vitesse en terrifié à l'idées de regarder si il est derrière moi, j'ai nettement l'impression d'hallucinée, je n'arrive pas à y croire , je ne veux pas y croire, pas devant chez moi , pas comme ça, pas maintenant...

Cela me rappelle l'horrible souvenir de ma mère...

Les larmes coulent à flot, je ne veux pas crier mais simplement y laisser ma vie pour qu'on me laisse enfin tranquille, je ne veux pas subir ça, arrivée devant la porte le cœur brûlant, je m'apprête à entré mais il était déjà trop tard, l'homme saute à moi, me faisant roulé au sol.

Aveuglé par le choc, je sens une main glaçante me prendre par le cou et me soulever, étranglée je n'arrive à peine à respirer pour pouvoir appeler à l'aide, lorsque mes pieds touche de nouveau le sol, nous voilà derrière un mur éloigné de ma porte, mon sang ne circulent plus lorsque j'aperçois son visage très reconnaissable, la tête couverte de gluant de par sa transformation, cet homme n'est qu'autre que Haru, sois - disant emprisonné depuis maintenant plusieurs mois, mes idées s'éclairent subitement, depuis le départ, il ne faisait que nous observer en prenant l'apparence d'un chat et posséder d'énorme informations sur nous jusqu'à l'intime.

Plantée comme un chou complétement terrifiée par ce qu'il peut m'arrivée sous mon propre toit, je me met à l'insulter de plus belle en le repoussant comme je le peux mais il détient une force tellement énorme que rien ne sert d'agir pour être libérée.

Sa main heurte violement ma joue jusqu'à me cogner le crâne contre le mur juste derrière moi, la douleurs m'envahie mais je lutte pour ne pas me laisser faire, une odeur répugnante s'échappe de son corps à m'en faire vomir, ses yeux noirs me tétanisent, son corps nu collé au miens, il place sa main contre ma bouche et ne me laisse pas d'autre choix que d'écouter ce qu'il a à dire en espérant que quelqu'un finira par me sauver.

Je ne cesse de pleurer, mon alter ne fonctionne pas pour je ne sais quelles putain de raison, sa puissance me torture, un gôut de sang me traverse la gorge, un parfum de chaude pluie nous entoure, seule l'éclair du ciel illumine son visage écœurant.

Haru: Je t'ai manqué pas vrais ?! Hein pas vrais Zina ?! Caresse moi ! Caresse moi comme tu l'as toujours fais !!

Je mords la paume de sa main qui m'étouffais mais celui ne fais que de me gifler avec celle-ci jusqu'à ce que je prononce le mot qu'il veut entendre.

Zina: Dé-dégage...T'es dans la merde...

Impuissante, je sens mes muscles se détendre, j'essaie de me débattre mais en vain, je ne sais pas d'où viens cette force aussi subtile mais je l'a hait, et ceux, du plus profond de mon cœur.

Haru: T'es qu'une putain de menteuse qui mérite d'être punie tu le sais ça ?!

Zina: Lâche m- !

Il attrape mes cheveux et jette ma tête vers l'arrière pour qu'elle en finisse ensanglanter.

Haru: Tu t'es bien amusée sans moi ?! J'espère que tu es heureuse avec Hackod !! Hein !?

Son visage en devient fou, j'ai l'impression de faire face à un détraqué mentale, je ne sais a quoi les voisins sert mais une chose est sûr, c'est que je ne m'en sortirai pas indemne.

Je tente de lui donné quelques coups de pieds mais il finit par les attraper pour me porter, torturer par toute mes blessures,
je n'arrive toujours pas à glacer mon corps et encore moins à le chauffer, je n'ai qu'une seule envie c'est de fuir, de dégueuler, de hurler, de mourir ne serait-ce qu'un simple instant.

𝕭𝖆𝖐𝖚𝖌𝖔 𝖔𝖗 𝕯𝖊𝖐𝖚 ? 𝓛𝓮 𝓭𝓮́𝓫𝓾𝓽 𝓭'𝓾𝓷𝓮 𝓯𝓲𝓷 [ EN RÉÉCRITURE ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant