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Après avoir passer une bonne partie de la journée ensemble je rentre chez moi . Nous n'avons néanmoins pas reparler de l'incidant de la dernière fois .

Je recroise en rentrant Juliette , lui demande si elle va mieux , et effectivement elle a l'air d'aller mieux  son mascara à été effacé ,son teint ravivé.

Je continue donc mon chemin jusqu'à mon nichoir . Mais en plein milieu des escaliers , une révélation s'illumine dans mon esprit . Le parfum que je viens de sentir chez Juliette , c'est le même qui empester Arthur .

Ont - ils passaient la nuit ensemble ?
Pourquoi m'en a t'il pas parler , ni lui , ni elle ?

Je me ferais un plaisir de lui demande plus tard , l'idée qu'ils finissent ensemble ne serait-ce qu'une fois la nuit tombée  ne m'étonnerais pas étant donner les deux personnages qu'ils sont .

Ou alors était-ce simplement l'odeur que Juliette avait déposer sur la veste d'Arthur lorsqu'il l'avait poser sur ses épaules la veille .

Un sourire se place sur mon visage n'en revenant pas de son acte gentleman .

Je dépose mes chaussures à l'entrée et cours jusqu'à ma chambre . Je m'affale sur mon lit en espérant ne jamais en sortir .

Une très légère odeur de parfum féminin envahie mes  narines , elle  est cependant très légère  , montrant ainsi que la petite blonde n'a pas peiner à s'endormir car aucune odeur de tranpiration ne s'hemane de la literie .

Je n'est pas le courage de les mettre à laver , je me contenterais donc de cette odeur qui ne me dérange pas , a vrai dire qui sa dérangerait  de sentir une odeur très légère de femme à l'endroit où nous nous évadons  dans les bras de Morphée , c'est une senteur rassurante me rappelant les bras de ma mère ou ma sœur toujours ouvert et près à accueillir  qui que se soit à n'importe quelle heure .

A l'inverse de ceux de mon père , qui eux était bien plus dur et froid .

Je me réveil avec un mal de tête inconnue mais douloureux, je n'ai pourtant pas bu . Comme quoi le corps humain aime bien nous rappeler qu'on est très vulnérable, je me sers donc un vers d'eau avec un Doliprane . En espérant que cette douleur s'échappe aussi vite qu'elle est arrivée .

J'ai cours aujourd'hui de 9 h a 12 h , 3 heures de pur épuisant ou je vais devoir me surpasser pour rester concentré car là ce n'est plus le lycée ou tu as le droit de te plaindre , c'est désormais un choix , vous allez me dire que le lycée aussi en est y.

Mais c'est différent au lycée tu ne perd pas d'années de ta vie , en étude supérieur tu te dois d'assurer car ce n'est plus que de simple année que tu perd c'est également des années où tu aurais pu toucher un salaire .

Me voilà donc assis sur ce grand banc d'emphitheatre au milieu car selon moi , j'ai constaté que ceux au premier rang était vu comme des intellos ce que je nuis pas , je suis assidu pas intello , la est la nuance .

Mon attention s'appuie et se concentre ensuite encore plus au moment où au milieu de la deuxième heure la professeure nous informe qu'un voyage est prévu pour ceux qui le veulent en Irlande , le seule problème c'est le budget du voyage qui est un peux au dessus de mon plafon mais je pense que sa pourrait se faire si je fais quelques petits boulot pendant 2 à 3 semaines .

Elle nous informe aussi que nous serons par chalet environ 6/7 par chalets. Elle informe également pour les intéressés que des places reste supplémentaire pour leur proches , très peux de place certe , mais tout de même .

Je me demande si Thomas pourrait venir , honnêtement je me demande si il n'est pas occupé de toutes part ces temps ci .

Bref , a la fin de ses 2 longes heures , je me dirige vers la sortie , passe les portes et va dans la petite épicerie au coin de la rue .

Juste un sourire...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant