- Tu parles de consentement ? Parlons en. Je ne t'ai jamais demandé d'entrer dans ma chambre, de me déshabiller, de me toucher ni de me stimuler au point d'occasionner la survenue de cette inévitable réaction
Elle est folle ou quoi ?
A ce stade là c'est carrément être cinglé ! Vu sa réaction on dirait que ces états semblent pour elle si habituels qu'ils en sont devenus anodins. Si anodins qu'elle ne jugerait pas utile de donner la moindre explication à une personne qui aurait été témoin de cette scène, soit dit en passant grandement effrayante à voir et qui en serait encore un peu retournée face au souvenir qu'elle en garde, et de ses yeux en particulier ... Elle avait l'air en transe et complètement déconnectée de la réalité ... Comme si une entité avait soudain pris possession de son corps et qu'en réponse à cette présence, seule la catatonie était possible. Quand je pense qu'elle est restée dans cet état pendant plus de deux heures avant que l'orgasme ne la fasse en sortir, je me demande ce qui se serait passé si elle avait été toute seule ?
Mon esprit est empli de questions ... Quel est le déclencheur ? Est-ce réellement moi ? Mais encore une fois rien n'est cohérent puisqu'avant, je l'ai doigté plus vigoureusement sans qu'elle ne perde contact avec la réalité ; elle était parfaitement consciente ... Véhémente certes face à tout ce que je lui faisais ressentir mais tout de même consciente.
J'ai eu la trouille de la voir comme ça et j'ai besoin d'explications ; ne pas me les fournir serait de la folie.
- Tu aurais préféré que je ne fasse rien c'est ça ? Tu ne réagissais plus Naëlle j'étais plein d'inquiétude et plutôt que de me dire merci, tu m'engueules ?
- Oui je t'engueule parce que tu as pris beaucoup trop de libertés. Je n'ai ni la tête de ta meuf, ni celle de l'un de tes plans Z et encore moins celle d'une de tes écervelées alors explique moi quel putain de droit te donne la permission de me toucher ? Qui est-ce qui t'a donné l'autorisation spécifique de faire ce que tu viens de faire hein ? S'énerve-t-elle descendant du lit, récupérant son string et son short reposant sur le matelas
- Je n'ai fait que t'aider. Si même avec l'orgasme ton état était resté le même, j'aurais appelé les secours tu peux en être sûre alors je ne m'excuserai surtout pas pour ça et tu ne devrais sûrement pas m'en vouloir pour ça. Réplique-je irrité
Elle est complètement malade.
- Laisse moi rire, tu ne me feras pas croire que cette « aide » était désintéressée continue-t-elle dédaigneuse en enfilant ses vêtements ce qui ne sait qu'attirer mon regard sur cette chatte lisse au parfum de vanille
- Biensûr qu'elle ne l'était pas d'ailleurs aucune de mes actions envers toi ne l'est et permission ou pas, tu m'as tout de même baisé la bouche cela dit Naëlle assume tes responsabilités
Sortant de sa chambre, je me retrouve comme un idiot, la tête emplie de questions. Elle me semble furieuse et m'a limite accusé d'être un violeur comme si je m'abaisserais un jour à ce niveau ... Pathétique.
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ᴜɴ ɪɴᴀᴛᴛᴇɴᴅᴜ ʀᴇᴠɪʀᴇᴍᴇɴᴛ - ʙᴇɢɪɴɴɪɴɢꜱ
EspiritualSûr de lui, presque imbu de sa personne, la faire sienne n'est pour lui qu'une simple formalité après tout il en a l'habitude. Elle, c'est un radar, une sentinelle et elle sait d'emblée qu'elle ne veut rien avoir à faire avec lui. Il insistera, pers...