Ma tête tambourine tellement fort que je peine à ouvrir les yeux à cause des rayons du soleil qui s'échappent des rideaux.
Malgré mes efforts pour apaiser la douleur en me massant les tempes, je ressens toujours une vive douleur. J'ai définitivement besoin de prendre quelque chose pour soulager la douleur.
Putain, je me déteste. Pourquoi est-ce que j'ai autant bu...Je me redresse lentement en me hissant vers le bord du lit et réalise, une fois mes yeux s'étant habitués à la lumière, que je suis dans sa chambre.
Il y a un verre d'eau et un comprimé d'aspirine posé sur la table de nuit, ce qui me fait sourire, touché par son attention.
Je constate que je suis vêtue d'un boxer et d'un t-shirt noir, beaucoup trop grand pour moi.
Mon esprit est encore confus, mais je me souviens vaguement m'être changée dans la salle de bain adjacente à sa chambre.
En explorant la pièce, mon regard est irrésistiblement attiré par une photo accrochée au mur.
Une femme d'une trentaine d'années avec des cheveux bruns coupés court est avec deux enfants, qui sont probablement les siens. Je réalise rapidement que le petit garçon sur la photo est Jace.Il semblait tellement heureux.
— Je vois que tu t'es enfin réveillée, tonne une voix roque dans mon dos.
Jace est appuyé contre la porte de la salle de bain, seulement vêtu d'une serviette nouée autour de sa taille.
Je suis incapable de détourner les yeux de son corps parfaitement sculpté, examinant chaque aspect de son corps athlétique.
Les rayons du soleil scintillent sur sa peau humide, mettant en évidence chaque muscle parfaitement dessiné. Mon regard dévore chacun de ses traits, admirant la perfection de son corps.
— Qu'est-ce que tu regardes comme ça, me taquine-t-il d'un regard amusé. T'as encore envie de t'amuser à cette heure-ci ?— Quoi ? Qu'est-ce que...
— Aïe... Tu t'souviens pas ? Comment peut-on oublier une nuit pareille...
Mon sang ne fait qu'un tour.
Comment ça "une nuit pareille" ? La dernière chose dont je me rappelle, c'est qu'il m'a portée jusqu'ici et m'a donné ses vêtements pour que je me change.
Confuse, j'essaye de tirer sur le t-shirt noir pour le faire descendre le plus possible, afin de ne pas être trop exposée.
— Je... ne me rappelle de rien, je réponds timidement à voix basse.— Alors, je vais te faire une piqure de rappel.
Jace s'avance vers moi à grands pas de loup, ce qui me fait tomber sur le lit en voulant reculer.
— On était dans ma chambre...
Il m'empoigne fermement le menton, m'obligeant à le fixer du regard. Ses yeux sont dilatés, semblables à ceux d'un lion qui guette sa proie. Je sens ma gorge se serrer et ma respiration devenir saccadée.
Il insère une de ses jambes entre les miennes, me faisant basculer sous lui. Je suis allongée sur le dos, totalement soumise à sa volonté, et même si mon corps est figé, mon esprit, lui, ne désire qu'une seule chose... Lâcher prise.
Jace effleure délicatement mes cuisses, approchant lentement de mon intimité. Ses doigts jouent avec le tissu du boxer comme s'il cherchait à l'arracher, déclenchant une vague de décharges électriques en moi.
Une montée d'adrénaline me submerge, et je laisse échapper un gémissement étouffé.
Il se rapproche de mon oreille, poursuivant sa route avec ses doigts le long de mes côtes, soulevant lentement le t-shirt que je porte.
— Si tu savais comme tu m'as allumé hier soir, Elizabeth. Tu m'as complètement sauté dessus supplié que je te baise, me chuchote-il suavement.Ses mains s'agrippent à mes reins. Je tente de réguler mon souffre en fermant les yeux, pour éviter de laisser échapper un autre gémissement en réponse à ses provocations obscènes.
Mon corps m'en réclame d'avantage quand soudain, ses mains, qui épousaient parfaitement la courbure de mon corps, disparaissent.
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Not Who You Think I Am
Romance« 𝐉𝐞 𝐭𝐮𝐞𝐫𝐚𝐢𝐬 𝐪𝐮𝐢𝐜𝐨𝐧𝐪𝐮𝐞 𝐨𝐬𝐞𝐫𝐚 𝐯𝐨𝐥𝐞𝐫 𝐭𝐨𝐧 𝐦𝐞𝐫𝐯𝐞𝐢𝐥𝐥𝐞𝐮𝐱 𝐬𝐨𝐮𝐫𝐢𝐫𝐞. » Lizzie Jenkins a dû d'abandonner sa vie passée suite au tragique accident qui a causé le décès de son père. Elle souffrait de son absence...