C'est toi que j'aime

Chapitre 84

PDV de Nat

Je n'arrive pas à réaliser qu'ils viennent d'annoncer ça. C'est pas possible ils ne peuvent pas le mettre en cellule, il y a d'autre solution !

* je me tourne vers l'équipe *

Nat: Vous êtes quand même pas d'accord avec ça ??

Ils baissent tous la tête sans me donner de réponse.

J'y crois pas

Nat: Tony ?

Tony: Je suis désolé Romanoff

Nat: C'est votre fille !

Cette fois je me tourne vers Fury.

Nat: Nick vous pouvez pas laisser faire ça

Nick: La décision a été prise

Nat: Elle n'a que vingt ans !

Nick: C'est provisoire, le temps de trouver une meilleure solution

Nat: Et vous trouvez que ça c'est une bonne solution !? Elle n'y est pour rien !

Ross: Ce n'est pas ce que dis le jeune homme qui vient de sortir de l'hôpital 

Nat: Il ne sait même pas de quoi il parle, ce n'est qu'un emmerdeur

Ross: Il a porté plainte alors il est de notre devoir de régler le problème

L'enfoiré !

Nat: Moi vivante vous ne toucherai pas un cheveux de Tp

Ross: Nous ne vous demandons pas votre permission

* il s'adresse aux agents du Shield *

Ross: Veuillez placer mademoiselle Tp en cellule

Les deux agents viennent dans notre direction. Je me place entre eux et Tp.

Ross: Romanoff, laissez-les passer

Nat: Je vous l'ai dis, personne ne l'approche

Ross: Vous voulez vous retrouver dans une cellule vous aussi ?

Nat: Allez y

Je sens que quelqu'un attrape ma main par derrière alors je le retourne.

Tp: Nat, ça sert à rien

Nat: Je les laisse pas t'emmener, tu n'es pas une criminelle tu n'as rien à faire là bas

Tp: Ce n'est pas pour longtemps

Nat: Non je

Tp: S'il te plait

Je ne répondis rien. Elle avait pris sa décision et rien ne la ferai changer d'avis, mais je n'arrivais pas à l'accepter.

Tp: Ne fais pas de bêtise d'accord

Nat: Je peux rien te promettre

Tp: Quand je sors de là, je veux te retrouver sans ennuis, alors ne fais rien de stupide

Nat: Ok

Tp: Tu me le promet ?

Nat: Oui

Elle pose ses mains sur mes joues et m'embrasse tendrement.

Tp: On se voit bientôt

Elle se tourne vers les deux agents qui l'escorte vers les cellules. Quand à moi, je reste debout, ayant du mal à réaliser ce qu'il vient de se passer. Je suis sortie de ma torpeur lorsqu'une main se pose sur mon épaule.