The Boss [REECRITURE]

Chapitre 18 : L'union

PDV Will

Enfin la vulnérabilité comblait ses yeux, comme un appel à l'aide ses pupilles perlaient de peur et d'excitation, elle n'eut besoin d'aucun mot pour d'écrire tout ce que j'avais sous les yeux, sa poitrine s'élevait et descendait rapidement, le souffle intense était partagé alors que je maintenais ses poignets au-dessus de sa tête pour l'empêcher de bouger, ma gaule s'amplifia à cette vue des plus plaisantes.

Il est écrit quelque part que je dois m'emparer de cette femme, ce n'est pas possible autrement, je n'ai jamais ressenti une telle envie de posséder une demoiselle aussi self-control qu'elle.Dans un geste des plus lent et jouissif, mon doigt gravit sa poitrine gonflée jusqu'à venir attraper sa mâchoire afin de lui arracher des baisers langoureux et emplit de désir.Mon cœur accélère de quelques battements en plus, j'ai l'impression d'avoir parcouru moi-même cette montagne à couper le souffle, j'en profite pour descendre le long de son cou afin de lui déposer des tâches violettes avant de finir par ouvrir d'un coup sec son chemisier noir.

- « Will !!! »
- « Une objection miss boss ? »
- « J'vais devoir recoudre les boutons !»
- « Ce n'est rien comparé à ce qui t'attend tu sais ? »

Sa vengeance ne tarda pas à arriver par l'action de ses mains craquant l'ouverture de mon jeans et son sourire mesquin pour appuyer son geste qui risque de lui couter cher sur la suite des évènements. J'agrippa ses cuisses en les soulevant et d'un acte ferme, j'attire son bassin contre le miens qui lui vole un gémissement en sentant ma verge dure contre son intimité encore cachée. Mon t-shirt fini par valser loin dans la pièce, lui laissant la vue jouir de mon torse dessiné, pendant un instant, ses doigts parcourent la longueur de mes veines apparentes sur les bras et les abdos avant qu'elle aussi ne fasse sauter la fermeture de son soutien-gorge pour l'envoyer planer.

Après un court laps de temps à contempler sa magnifique poitrine toute pâle, la fougue reprend en moi en commençant par agripper un sein pour lui insurger toute sorte de supplication. Ses gémissements retentissent dans la pièce alors que je ressens ses doigts qui passent dans ma chevelure avec l'attente que je la dévore encore plus. Je fini par la débarrasser de son pantalon quant elle sauta sur moi pour me faire subir le même sort, notre sous-vêtement pour seul protection, ma boss appuya doucement sa fente cachée par le tissu contre ma verge, lentement je ne pu réprimer d'enfoncer mes doigts dans ses cuisses.

Bordel, son corps sur moi, ma boss s'offrant à moi, je n'aurais jamais cru que posséder me ferait un tel plaisir, sa culotte mouillée contre mon sexe m'arrache quelques grognements comblés par la satisfaction. Elle sourit, heureuse de son moment de dominance et de contrôle mais je ne tarde pas à retourner la situation en la poussant contre le dossier du canapé, moi derrière elle agrippant sa poitrine pour me frotter encore plus à son corps doux et excitant.

Après avoir mordillé son oreille d'envie, ma boss enlève son tissu pour seule armure et accentue un coup de fessier contre mon fourreau qui n'attend qu'une chose qu'elle vient de provoquer. Mon boxer retiré, elle se retourne vers moi afin de coller son corps chaud et nu contre le miens, une idée fortement excitante qui fit réagir la poussée de mon liquide pré-séminal, j'attrapa sa jambe pour la placer sur mon épaule, m'offrant ainsi une vue splendide sur son appareil reproducteur.

Dans un échange de regard, ses mains attirèrent ma nuque vers elle pour m'embrasser, m'invitant ainsi à poursuivre nos ébats corrompus, je m'insinuai entre ses cuisses lentement ce qui lui valut un gémissement inattendu.Dans l'attente de mes vas et viens, elle les réclama de ses pupilles suppliantes, d'un coup brutal je me mis à bouger, mon mouvement se perpétua avant que le sien intensifie l'acte qui se fit encore meilleur et sauvage que ce que j'avais imaginé.

- « Will, baise-moi » lâcha-t'elle en me regardant droit dans les yeux.

Cette simple demande finie par s'emparer de moi et dans l'accélération de ma verge en elle, j'agrippa ses fesses pour la satisfaire davantage, la pièce fit comblée par ses gémissements plaintifs et désireux. Le bruit de nos sexes qui s'entremêlent intensifia mon désir pour elle et je senti à quel point elle mouillait pour moi, la sensation de ma verge humectée par ma boss me rendit encore plus fou et poussa le désir jusqu'à l'arrivée de mon foutre. Je sentis ses jambes trembler sous mon corps, ses bras me serrant fort, elle allait venir aussi, machinalement je sortis et me finit contre elle en même temps que j'enfila deux doigts en elle pour la mener à bout. Après un long geignement partagé, nous soupirons dans un écho suivi d'un assoupissement l'un contre l'autre dans un silence apaisant.

J'émerge de mon sommeil en sentant des caresses le long de mon torse et entrevoit deux yeux bleutés m'observant avec délicatesse, je la contemple en réalisant avoir couché avec ma patronne, j'ai réussi à arriver là où les autres ont échoués, bien curieux que je sois, j'ai eu vent que beaucoup de personnes avaient tentés auprès d'elle.En caressant le haut de son crâne tout doux d'une chevelure soignée et parfumée d'huile, ma boss relâche un petit soupir qu'elle avait l'air de garder depuis un moment.

- « Ça t'a plu ? » demandais-je.- « Elle te démangeait cette question, n'est-ce pas ? » répondit-elle avec un grand sourire.- « Non, juste de la curiosité » fis-je savoir en un clin d'œil.- « Tu le sauras alors la prochaine fois » - « T'oses pas me le dire ? »- « J'aimerais surtout prendre une douche »

La jeune femme se redressa, ses seins exercèrent un mouvement rebondit au même moment et elle attacha rapidement sa longue chevelure en un chignon.

- « Bien, suis moi miss »

Je me levis à mon tour pendant qu'elle pris soin de détailler mon corps du regard, j'ouvris la marche vers la salle de bain en l'entrainant avec moi.

- « Tu vas me laver en plus de ça ? » demanda t'elle.
- « On m'a toujours dit de nettoyer mes jouets après usage » lâchais-je avec un sourire narquois.

Sa bouche s'ouvrit choqué et elle m'assaini d'une violente tape contre le torse en guise de vengeance.

- « La prochaine fois je te met une olive, tu feras moins le malin »

Un rire éclata hors de ma bouche et le sien se déclencha à l'entente du miens, j'attrapa le tour de sa taille et la poussa sous la douche en fourrant ma tête dans son cou, sentant enfin la chaleur de l'eau ruisseler sur nos corps nus.Après s'être préparé, nous nous sommes rendus au bureau comme convenu, moi enfermé dans mon bureau et elle dans le sien, je continuais tranquillement mon travail et envoya l'avancée au directeur de gestion. Un œil sur mon téléphone, j'inspecte rapidement mes mails et vois une offre d'embauche qui m'est adressé, ayant intégré Audi Brussels depuis quelques mois maintenant, je constate que ça en intéresse plus d'un mais je n'y prête pas attention, du moins pas pour l'instant...