Il n'y a qu'un drame morcelé en terreurs immenses.
J'étais Maeve Sardez et je vais vous raconter le récit de ma vie.
Tout a commencé par des ombres paranormales et des secrets dont je n'aurais jamais dû avoir vent, enfin ça c'est ce qu'on m'a dit...
Message de publication 17 : Hey ! Me revoilà ! Ainsi que Maeve et ce mystérieux inconnu. Vous découvrirez bientôt de qui il s'agit ! Bonne lecture !
Récapitulatif : Maeve est faite prisonnière par une mystérieuse organisation. Cette organisation la martyrise. Elle n'a plus d'espoir jusqu'à ce qu'elle soit plongée dans un coma de souvenirs, tiraillée entre la mort et la vie.
Chapitre7 : Un brin d'espoir
- C'est impossible. Aidez-moi ! j'ai été enlevée.
- Je sais. Mais je ne peux pas prévenir la police. Ce qui est sur le point d'arriver nous dépasse tous. La police sera tuée avant d'avoir pu atterrir ici.
- Mais je vous en prie dites à ma famille que je suis vivante, qu'ils ne doivent pas perdre espoir ! Ils doivent encore croire en moi ! Ils doivent faire attention ! J'ai peur...,
- Maeve, respire. Tu es entre la vie et la mort. Économise tes forces. D'habitude ce voyage vers la cinquième dimension est plus calme mais tes blessures n'ont pas été complétements soignés. Tu es en train de convulser à cause du voyage mais l'hémorragie n'est pas liée à ça. Il faut que tu résistes. Tu es la clef de la survie de l'humanité. Tu es plus précieuse que tu ne le crois.
- Qui es-tu ?
- L'espoir dont tu avais besoin je te sortirais d'ici bientôt. Il est temps que tu repartes.
- Pourquoi me faire vivre tout ça pour si peu ? me suis je exclamée retenant mes larmes.
- La cinquième dimension permet de trouver certaines ressources qu'on ne peut pas trouver sur terre.
- Je ne comprends rien ! aide-moi ! Pitié ne me laisse pas ! ai-je clamé.
- Je ne peux pas. Je regrette. C'est dur de devoir te laisser partir mais ne t'inquiète pas on se retrouvera bientôt. Avale.
- L'homme aux mains de feu existe-t-il vraiment ?
- Oui.
C'est la dernière chose qu'il m'a dit avant de disparaitre et que je ne resombre dans un monde froid et gloque. J'ai revu ma vie en accéléré. Je suis tombé puis je suis remonté et je suis restée en apesanteur. Je me suis retrouvée dans une tempête immense puis le vent et la pluie ont résonné tous se passait très vite. Je ne comprenais rien. La vie semblait se dérouler à trois cents kilomètres heures. Un tourbillon de lumière m'éblouit. J'ai hurlé et convulsé et je me suis éveillée dans une salle aux lueurs blanches, sur une table en fer, froide. Une voix a crié. Un masque a été posé sur mes lèvres et mon nez. Un gout aigre est venu me chatouiller le nez. Je résistais. Ils m'endormaient. La voix s'est exclamée, elle me parlait mais je n'entendais rien. Je ne comprenais pas ce que me demandaient les voix. Je comprenais qu'on m'opérait. J'ai bougé mes doigts et senti du sang coulé le long de mon bras. Je ne savais pas où j'étais, ce qui se passait, ce qu'on me faisait. Une vision d'horreur m'est apparue à l'esprit et si on était sur le point de m'enlever mes organes vitaux où que sais-je encore. J'ai résisté difficilement, c'est là que dans mon champ de vision, j'ai aperçu l'homme qui me martyrisait depuis des mois. Il m'a giflé si fort que je ne parvenais plus à me concentrer pour ne pas m'endormir. Puis un visage familier oublié s'est penché sur moi et le noir est arrivé.
Une décharge électrique m'a réveillé. Ma vue a mis du temps à s'adapter. Mais à mon grand désespoir une fois net, la vision devant moi me donna la nausée. Encore dans cette grande salle affreuse.
- Alors ? tu as essayé de t'échapper ! s'est écriée une voix dans le fond.
Reprenant mes esprits, je n'ai rien répondu. La voix ne m'était pas étrangère mais j'étais sûre de ne jamais l'avoir entendue. Comme s'il s'agissait d'une célébrité. Puis, un son à la sonorité reconnaissable s'est abattu sur moi, un fouet. Je sentais la brûlure se dessiner sur mon dos frêle et le bleu se profiler.
- Que voulez-vous ? que je m'astreigne à rester ? ai-je demandé droit dans les yeux à l'ombre cachée dans un coin.
- Nous voulons que tu coopères ! t'est-ce trop demandé ? Il faut que tu manques de mourir pour comprendre nos demandes !
- Quoi ? que voulez-vous dire ! me suis-je étonnée alors que je pensais qu'il faisait allusion à mon escapade étrange sur cette plage.
- Tu ne te souviens pas d'être mis à convulser et à vomir du sang alors qu'on sonnait l'alerte ? s'étonnait la silhouette en se rapprochant ; Un carnage, a-t-il dit en pointant une tache rougeâtre effacée au sol.
- Pas dans les grandes lignes. Je me souviens que j'étais enfin libre. Si je meurs je n'aurai plus à vous subir vous, vos ordres et surtout vos soldats encapuchonnés ! ai-je crié avant de cracher au pied de la silhouette de plus en plus proche.
- Tu ne comprends pas. Tu es condamnée. Ceci est ta prison pour les méfaits de l'humanité.
- Mais qu'ai-je fait ? Je ne suis pas parfaite mais je me suis toujours efforcé de faire le bien autour de moi.
- Maeve ! tu es autant butée que ta mère ! avait rouspété l'homme en tournant autour de moi.
- Vous connaissiez ma mère ?! j'étais désormais sous le choc ma mère avait connu cette ordure. J'espérais qu'elle ne voyait pas le massacre que l'homme m'infligeait.
- Disons que je la côtoyais.
- Vous étiez proche ?
- Oui, mais nous ne parlons pas de la même personne.
- Je sais que ma mère a été très différente après avoir rencontré mon père mais je ne comprends pas pourquoi je dois payer pour ces gens tout en coopérant qu'ai-je à vous donner si je suis déjà exilé. Et jusqu'à quand d'abord ?
- Maeve, on ne peut se résigner à te laisser partir vivante.
- Alors tuez-moi !
Fin du chapitre 7
Message de publication 18 : C'est sur cette note sombre que je vous annonce la fin de ce chapitre. A très vite ! Joyeuses fêtes ! A vos théories dans les commentaires !
Kiss Kiss spéciale pour d'incroyables lecteurs inconnus qui me lisent !
- Surprenante Mlle-lune✨
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