fuite ou mort...

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Je vois là hierro... debout adossé légèrement contre le bureau devant lui est accroupie une femme...elle est de dos donc je ne vois pas son visage, mais elle a des cheveux courts et bruns . Elle est à moitié nue et lui aussi ,cela me dégoûte car je sais déjà ce qu'elle est entrain de lui faire, mon entrée ici les a surpris mais elle ....elle s'en fichait pas mal ,j'ai refermé la porte si tôt et une grande envie de vomir m'a envahit je me suis dirigé dans ma chambre presqu'en courant, puis je me suis dirigé vers la douche où je fis sortir tout ce que j'avais manger au dîner...une fois fini , j'appuyais sur la chasse...je ne sais pas pourquoi...mais je me rends compte que je ressens là une certaine colère...mais pourquoi !? Je restais là Assise , quelques larmes quittèrent mes yeux ,mais je les efface rapidement...je me lève et sort de là...

Plus tard dans la matinée...

      J'ai pas pu dormir... c'est chiant...je me lève d'un pas las et me dirige  vers la douche ,je me mire et remarque que ma plaie au front avait bien cicatrisée..elle ne se voyait presque plus, je vois que j'ai maintenant des cernes...ha...j'ai les yeux lourds, je met de l'eau dans me creux de mes mains et me l'asperge sur le visage, je me brosse les dents... pourquoi pas prendre une douche en passant...et c'est ce qui fut fait, je me dirige à nouveau vers le miroir hummm finalement ces cernes me donnent un petit air, j'aime bien...alors je me passe un peu de pommade, je met un t-shirt blanc suivie d'un pantalon évidemment plus gros que moi...mais j'aimais bien aussi le style...je sors de la douche , je prend la photo avec l'intention de le remettre à Alec...une fois hors de ma chambre, je découvre une maison totalement calme ..bon c'est l'habitude mais là ,j'ai l'impression qu'il n'y a personne, je marche et vais cogner à la porte d'alec...Rien...je fais la même chose avec la porte d'Alice ,Rien aussi, alors je décide d'entrer, mais il n'y a personne...alors je ressors la photo en main...je marche le long du couloir et descend les escaliers, je remarque que la table est faite et que tout est prêt pour le petit déj...alors je me fais un bon chocolat chaud et vais m'asseoir sur la terrasse qui donnait une belle vu sur la cour...ce n'est que là que je vis quelques hommes, tous en costard..tenant des armes à la main, c'était à vrai dire la première fois que je sortais au dehors...mais ils s'en foutaient comme s'il me connaissaient... bref...je lève mes yeux vers le ciel , un ciel qui m'as l'air plus beau aujourd'hui,le vent est doux et léger ; les nuages défilent dans le ciel en prenant des formes bizarres mais belles; on entend même des oiseaux chanter....tout pour former une belle nature...une nature qui donnerait envie de sauter ; chanter; danser....mais non...je n'avais envie que d'une chose et c'était de quitter cette prison de merde...il faut que je sache si ma mère est bien en sécurité, il faut que je la vois...sa douceur...son rire..ses blague et son regard bleu intense me manquent...le jour là si je savais que je ne la verrai plus, je me serai levé plus tôt, je l'aurai serré une dernière fois dans mes bras... j'aurai profiter de son rire ...et je ne l'aurai sûrement pas laisser partir...
    J'étais encore dans mes pensées quand le grand bruit d'une voiture attira mon attention, je la regardais passé... c'est une sorte de mini van , elle passa dans les allées du jardin et se dirigea vers l'arrière de la maison...je continuai a prendre mon petit déj mais une idée germa dans ma tête...et si ... c'était un moyen pour moi de m'échapper d'ici , si elle est rentrée, elle va sûrement ressortir du coup je me levais en hâte et me dirigeai discrètement vers le lieu où s'était garées cette voiture...je me cachai derrière un mur et regardais tout de loin...il y avait deux hommes qui étaient sortis de cette voiture , ils avaient pas l'air nets...mais que dis je ils sont tous fourbes ici...ils avaient des cigarettes à la bouche , l'un d'eux fit une blague et l'autre commença à rire tel un écervelé...avec eux étaient d'autres hommes sûrement de la maison...ils déchargèrent un carton, y firent sortir un gros sachet qu'ils déchirèrent et l'un d'eux y plongea le doigt...puis le renifla ,il fit signe de tête à l'autre qui ordonna qu'on décharge toute la cargaison...ce qu'il firent sans perdre de temps...je n'étais pas une pro mais même un enfant serait capable reconnaître cette substance poudreuse blanche...je vis défilé environ trente cartons et enfin ils s'arrêtèrent...

CaridadOù les histoires vivent. Découvrez maintenant