12. DONOVAN

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New York, État-Unis 17 octobre 2022

Quand je me suis réveillé, les infirmières m'ont dit que j'avais fais une hypoglycémie, manque de sucre.

C'est bien la première fois depuis longtemps que Calvin était aussi proche de moi, il ne me fuyait plus mais était presque à me sauter dessus pour me prendre dans ses bras.

Moi qui voulait que notre relation s'arrange, certes j'aurais voulu que se soit dans d'autre circonstances.

La blonde tout le temps avec Calvin, reste dans un coin de ma chambre d'hôpital. Peut-être pour ne pas déranger nos petite retrouvaille familiale.

Depuis plus d'une heure mon téléphone sonne "Maman" souhaite me joindre mais j'en ai décidé autrement, ce qui ne doit pas forcément lui plaire.

- Tu devrais lui répondre, elle doit être inquiète. Lança Calvin en me regardant dans les yeux.

- Qu'elle aille voir ailleurs si j'y suis. J'en ai plus que marre de son comportement chelou avec moi.

- C'est ta mère, tu ne peux pas arrêter de lui parler comme ça du jour au lendemain.

- Moi, je fais ce que je veux. Que ça plaise aux autres ou non.

Si c'est pour me faire une leçon de moral qu'il est là, qu'il parte. J'ai pas besoin de lui et de son comportement de daron. J'ai beaucoup mieux à faire.

J'allais sortir de mon lit mais un médecin rentra aux même moment :

- Vous vouliez aller où comme ça monsieur Anderson.

- Loin, loin d'ici. J'en ai plus que marre d'être enfermé ici à rien faire.

- Vous avez fais un malaise et vous avez vraiment cru que j'allais vous laisser partir.

Sa façon de me répondre était ironique, en même temps c'était son boulot il savait ce qu'il avait à faire.

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Ça a été très compliqué mais j'ai réussi à convaincre le médecin de me laisser rentrer chez moi.

Je peux être très persuasif quand j'en ai envie.

Tu l'as juste supplié comme un gamin de cinq ans.

C'est mon secret ça, personne n'est obligé de le savoir.

Calvin à failli m'accompagner chez moi comme un putain d'handicapé. Mais je sais encore me démerder seul, ça doit faire depuis mes quinze ans que je me débrouille seul c'est pas maintenant que j'ai besoin de son aide.

Je pouvais voir sur le visage de la blonde que je l'énervais mais ça je pense qu'elle le gardera pour elle.

Juste pour la faire chier, j'aurais pu rester chez elle et Calvin mais rien que d'imaginer devoir me coltiner mon frère j'ai vite chassé cette idée de mon esprit.

En déverrouillant la porte de mon appartement, une odeur qui m'était drôlement familière empestait dans l'entrée.

Celle du connard qui m'a fait tomber dans la drogue...

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BONJOUR/BONSOIR

Comment allez-vous ?

Je suis sincèrement désolé de mon absence mais je reviens plus forte maintenant.

Je poste ce chapitre ce soir et peut-être un autre demain pour rattraper mon retard. Celui de demain sera fort en émotion pour moi, j'espère pour vous aussi.

BONNE LECTURE...

𝐀𝐓𝐇𝐄𝐍𝐀 ( Réecriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant