Chapitre 65 :

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Attention, contient :

- Sexe

- Violences physiques et sexuelles.

- Langage grossier, vulgaire.

- Maladie

Le thème de la maladie est activement abordé (descriptions et détails).

Le thème de la maladie est activement abordé (descriptions et détails)

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Jungkook vola un dernier baiser à Jimin et chuchota :

- J'y vais...

- À ce soir...

Ils se sourirent, heureux et Jungkook quitta la maison, guilleret.


Jimin rejoint son eommoni, s'assit près d'elle et prit la parole.

- Je vais pas te faire attendre : j'ai profité de cette nuit pour réfléchir à ce dont tu m'as parlé hier matin, enfin, à ta proposition. Et... Je sais que ça sera pas facile du tout pour moi, parce qu'un psychologue sera quelqu'un que je ne connais pas, quelqu'un qui, à cause de son statut, me rappellera toujours ma mère et que ça rendra les choses plus difficiles, mais... J'espère que ça me permettra de mettre aux clairs plusieurs choses. Simplement, je ne veux pas dire tout ça à un psychologue que je ne connais pas et que seul lui le sache. Je sais pas comment l'expliquer, mais j'ai comme un sentiment d'insécurité à ce qu'un inconnu sache quelque chose de si personnel alors que mes proches l'ignorent.

- Quoi exactement ?

- De... Des choses dont je n'ai pas parlé, des choses que moi seul voyait quand eomma était... dans cet état et qui me sont revenues récemment.

- Tu... Tu as décidé de m'en parler à moi ? demanda la femme, incertaine.

- Je ne veux surtout pas que tu te sentes en devoir de le faire. Ne le fais pas pour moi si c'est absolument pas quelque chose que tu peux entendre eommoni. Je pourrais en discuter avec d'autres gens, avec mes hyungs, Apeoji... Mais avec ce que tu vas vivre dans les prochaines semaines avec ton père, je ne veux pas t'imposer d'écouter ça parce que ce sera pas facile à entendre.

- Mmh... Je vois. En vérité, je ne crois pas en être capable. Eun-Jung et moi étions amies depuis si longtemps. On a rarement réussi à se voir après le déménagement de tes parents, même si on avait tous activement gardé contact. Qui eut cru que ce soit si difficile de se voir en tant d'année, entre les jobs de chacun, la famille à gérer... On ne s'est sans doute pas rendu compte que le temps passait si vite. Si on avait su, je pense qu'on aurait davantage prêté d'attention à s'en accorder. J'ai vu aussi sa...détérioration, mais d'un point de vue d'adulte. Entendre celui que tu as eu, enfant... Je ne pense pas pouvoir. C'est trop difficile. Elle m'a confié le soin de ses enfants, en me nommant marraine. Elle avait même décidé de lui donner mon nom si elle avait eu une fille. Et j'ai l'impression d'avoir échoué. Pardon, excuse-moi... bégaya la femme en détournant la tête.

Juste une partie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant