Chapitre 4

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Une semaine après

- On va rater l'avion bordel ! S'exclame mon père.

- Ah d'accord ma belle. Sortais-je.

- Tu fais chier avec ça. Se plaint ma mère.

- Ah d'accord ma belle. Répétais-je.

Ils me lâchent tous un regard noir et nous rions. On marche super vite dans l'aéroport de Cancún. Nous embarquons à la dernière minute et entrons dans l'avion. Je m'assois à ma place et me permets d'enfin respirer.

- Donne un peu. Dit Marco en voulant voler mes chocobons.

- Mais bouge ta race. Le dégageais-je.

Je ferme les yeux et plonge dans mon sommeil. J'ai exactement 11h pour passer ma best nuit.

- Ma puce on va atterrir. Me prévient mon géniteur.

J'ouvre doucement les yeux et baille. J'ouvre légèrement mon hublot et découvre qu'il fait jour. On survole toute l'Ile-de-France. On a beau la critiquer mais la France c'est quand même quelque chose.

Nous atterrissons, récupérons les valises et rentrons au bercail, comme dirait mon père. Je pose mes affaires dans ma chambre et souffle un bon coup. Je n'ai qu'une seule envie c'est de taper un gros coma. Je suis épuisé. Depuis que je suis arrivé à Ibiza avec mes amies, je n'ai pas arrêté de bouger et j'ai finalement très peu dormi ce mois d'août.

Je descends me chercher quelque chose à me mettre sous la dent pour ensuite dormir toute la journée. Je sors un pot de glace et l'ouvre. J'allais sortir un petit bol mais la sonnette de la maison me fait m'arrêter dans mon action. Personne ne semble vouloir ouvrir la porte. Je roule des yeux et ouvre celle-ci. Un livreur en uniforme me fait face.

- Bonjour vous êtes Carla Castillo ? Me questionne-t-il.

- Bonjour oui pourquoi ? Demandais-je.

- J'ai des fleurs pour vous. Me prévient le livreur.

Je fronce les sourcils et le monsieur me tend un bouquet de fleurs.

Je fronce les sourcils et le prends

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Je fronce les sourcils et le prends. J'allais lui dire que je n'ai rien commandé mais celui-ci me devance.

- Bonne journée, au revoir. Dit le monsieur.

- Euh à vous aussi, au revoir. Répondais-je.

Je referme la porte et observe le bouquet qui soit dit en passant est vraiment magnifique. J'aperçois une petite carte blanche à côté. Je fronce les sourcils et décide de la prendre et de la déplier.

Je t'avais dis que je te retrouverais :)

Malgré que le mot ne soit pas signé, je devine tout de suite qui est l'auteur de tout ça. Je n'arrive pas à masquer mon sourire. Ce Griezmann est complètement fou.

Adicción 7Où les histoires vivent. Découvrez maintenant