Adicción 7

Chapitre 29

Un mois après

PDV d'Antoine

- Carla ?

- Hum ?

- Tu seras prête dans combien de temps ? Je ne te mets pas la pression hein. C'est juste pour savoir si... Commençais-je.

Je me coupe dans ma phrase en voyant Carla sortir de la salle de bain, toute prête et toute belle.

- Tu vois que je sais être à l'heure. Rigole la brune.

- Je n'ai rien dis. Dis-je.

- Espèce de menteur. Lâche-t-elle.

Je rigole avec elle.

- Tu es jolie. La complimentais-je.

- Merci. Me remercie Carla en me faisant un smack.

Nous nous sourions et disons au revoir à sa famille.

- Je conduis ou tu conduis ? Demandais-je.

- Fais toi plaisir.

Je lui sourie, prends ses clés de voiture et nous démarrons direction Mâcon. En effet, nous allons chez mes parents. J'ai eu une grosse discussion avec eux par rapport à ma relation avec Carla et mon divorce avec Erika. Ils ont donc décidé d'inviter Carla et moi à manger.

Le trajet se passe bien. Mais plus on s'approche de la destination, plus je sens Carla se tendre un peu.

- Ça va ? Demandais-je.

- Oui ça va et toi ?

Je profite d'être à un feu rouge pour tourner ma tête vers elle et l'observer.

- Quoi ? S'agace l'ancienne babysitteur de mes enfants.

- Tu es stressé. Remarquais-je.

- Oui.

- Tout ira bien. Tu les as déjà rencontré en plus. La rassurais-je.

- Oui mais à ce moment ce n'était pas en tant que ta petite amie. Qu'est-ce qu'ils penseront d'une fille qui se tape le mari de sa cousine ? Stresse la cousine d'Erika.

- Arrête avec ça. Je leur en ai déjà bien parlé. Ils ont compris que c'était bien plus profond que ça. Racontais-je.

- Oui mais ils en pensent pas moins. Continue Castillo.

Le feu redevient vert. J'avance et continue.

- Je t'assure qu'ils ont compris. Tout ira bien. Si ça se passe mal je te défendrais comme je l'ai fait à Noël. Je laisserais personne te manquer respect. La rassurais-je à nouveau.

Je la sens sourire légèrement. Elle se détend un peu et nous arrivons enfin à destination. Je me gare devant la maison et nous sortons de la voiture. Je sonne à la porte.

Ma mère vient nous ouvrir.

- Ahhh coucou. Nous salut ma mère.

- Coucou maman. La saluais-je en la prenant dans mes bras.

- Bonjour madame. La salut Carla.

- Mais non appelle moi Isabelle. Lui dit ma génitrice en lui faisant la bise.

Les deux femmes se sourient et ma mère nous fait entrer.

- El cabrón. M'interpelle Théo.