"On t'aime comme tu es."

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⚠️SÉQUENCE DE VIOL DANS LE CHAPITRE, FAITES ATTENTION AU CHANGEMENT DE POLICE ! ELLE SERA INDIQUÉE PAR UN PANNEAU ATTENTION AU DÉBUT ET À LA FIN POUR CEUX SOUHAITANT NE PAS LIRE ! ⚠️

Après avoir sortis sa vérité, Alec se tut en se mordant la lèvre. Personne ne parlait et il sentait la panique monter, il avait l'horrible impression d'avoir fait une bêtise et que tous le monde va le renier. Il se retrouve à des centaines de kilomètres de sa famille et si celle-ci décide de sortir de sa vie, il ne pourra rien y changer.

-          Alec ? On t'aime comme tu es, tu sais ? Peu importe que tu aime les hommes ou les femmes, tu reste notre fils.

-          Je suis d'accord avec Maryse, tu reste notre fils peu importe vers qui se porte ton cœur. On t'aime, Alec.

-          Papa et maman ont raison, je t'aime !

Alec releva la tête pour tous les regarder à travers l'écran avant de leur sourire sincèrement. Un vrai sourire, sincère et très rare. Il discuta avec eux de longues minutes en prenant son repas. Isabelle le questionna sur un éventuel petit ami, mais il n'avait aucune info croustillante à lui donner de ce côté-là. Après sa conversation familiale, Alec alla prendre une douche le sourire aux lèvres. Il était sincèrement heureux de voir que sa famille accepte son homosexualité. Il y a eu beaucoup d'effusion d'amour et cela lui a remonté le moral pour au moins une semaine. Après avoir pris sa douche, il décide d'aller se coucher de bonne heure pour avoir une journée plus longue le lendemain. Il vérifie que sa porte est fermée à clé et part s'allonger sur son lit, le sourire aux lèvres. Il s'endort rapidement.

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𝑄𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑗'𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑑𝑠 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑎 𝑐𝘩𝑎𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑠'𝑜𝑢𝑣𝑟𝑖𝑟, 𝑗𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀ 𝑞𝑢𝑖 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑'𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑟. 𝐽𝑒 𝑑𝑒́𝑔𝑙𝑢𝑡𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝑓𝑒𝑟𝑚𝑎𝑛𝑡 𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑦𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑒𝑠𝑝𝑜𝑖𝑟 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑠'𝑒𝑛 𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑚'𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑐𝘩𝑒́. 𝐼𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀ 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑚𝑎 𝑐𝘩𝑎𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑛𝑢𝑖𝑡 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑖𝑙 𝑎 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑟𝑜𝑚𝑝𝑢 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑑'𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑝𝑢 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑡. 𝑀𝑜𝑛 𝑝𝑒̀𝑟𝑒 𝑠'𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑛𝑞𝑢𝑖𝑒́𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑒 𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑟𝑒𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟, 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑖𝑙 𝑠'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑟𝘩𝑎𝑏𝑖𝑙𝑙𝑒́ 𝑒𝑛 𝑣𝑖𝑡𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑒𝑡 𝑙'𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑟𝑒𝑗𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑙𝑜𝑛 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑒𝑢 𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑐𝘩𝑒𝑟. 𝐼𝑙 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑒 𝑝𝑜𝑠𝑒́ 𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑚𝑜𝑖. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑗𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑓𝑜𝑖𝑠, 𝑐𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡. 𝑀𝑜𝑛 𝑝𝑒̀𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑟𝑒𝑛𝑑𝑒𝑧 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒 𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑟 𝑒𝑡 𝑚'𝑎 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑒́ 𝑎̀ 𝑀𝑖𝑐𝑘𝑎𝑒𝑙. 𝐸𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑖𝑙 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑟𝑖𝑒𝑛, 𝑖𝑙 𝑛𝑒 𝑠𝑒 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑚𝑒 𝑗𝑒𝑡𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑔𝑢𝑒𝑢𝑙𝑒 𝑑𝑢 𝑙𝑜𝑢𝑝. 𝐸𝑛 𝑝𝑙𝑢𝑠, 𝐼𝑠𝑎𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒́𝑒 𝑐𝘩𝑒𝑧 𝑚𝑎𝑚𝑎𝑛, 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑗𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑣𝑟𝑎𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑢𝑖. 𝐽𝑒 𝑙'𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑑𝑠 𝑓𝑒𝑟𝑚𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑙𝑒́ 𝑒𝑡 𝑠'𝑎𝑝𝑝𝑟𝑜𝑐𝘩𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑛 𝑙𝑖𝑡. 𝐽'𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑑𝑠 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒 𝑐𝘩𝑜𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑜𝑢𝑟𝑑 𝑟𝑒𝑗𝑜𝑖𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑙 𝑒𝑡 𝑗'𝑒𝑛 𝑑𝑒́𝑑𝑢𝑖𝑠 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑'𝑒𝑛𝑙𝑒𝑣𝑒𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑎𝑛𝑡𝑎𝑙𝑜𝑛. 𝐿𝑒𝑠 𝑙𝑎𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑚𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑗𝑒 𝑟𝑒𝑓𝑢𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑢𝑖 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒𝑟 𝑚𝑎 𝑓𝑎𝑖𝑏𝑙𝑒𝑠𝑠𝑒. 𝐽𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑜𝑖𝑑𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑡 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑠𝑒 𝑔𝑙𝑖𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑚𝑜𝑛 𝑝𝑦𝑗𝑎𝑚𝑎 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑚𝑒 𝑙'𝑒𝑛𝑙𝑒𝑣𝑒𝑟. 𝐽𝑒 𝑚𝑒 𝑑𝑒́𝑏𝑎𝑡𝑠 𝑑𝑢 𝑚𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑒 𝑗𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑥, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑖𝑙 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑚𝑜𝑖. 𝐼𝑙 𝑚𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑞𝑢𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑔𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑡 𝑒𝑡 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑒 𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑛𝑢. 𝐽'𝑜𝑠𝑒 𝑎̀ 𝑜𝑢𝑣𝑟𝑖𝑟 𝑢𝑛 œ𝑖𝑙 𝑒𝑡 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑗𝑒 𝑣𝑜𝑖𝑠 𝑚𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒𝑟 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑣𝑜𝑚𝑖𝑟. 𝐼𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑛𝑢 𝑎𝑢 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑢𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑖, 𝑒𝑡 𝑗𝑒 𝑣𝑜𝑖𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑠𝑒𝑥𝑒 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀ 𝑑𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒𝑟. 𝐽𝑒 𝑟𝑒𝑓𝑒𝑟𝑚𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑦𝑒𝑢𝑥 𝑒𝑛 𝑝𝑟𝑖𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑚𝑜𝑛 𝑝𝑒̀𝑟𝑒 𝑟𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑒 𝑚𝑜𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎̀, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑛𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑗𝑒 𝑛'𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑑𝑠 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑑'𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒́𝑒 𝑠'𝑜𝑢𝑣𝑟𝑖𝑟. 𝐿𝑢𝑖, 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎̀, 𝑎𝑢 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑢𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑖, 𝑖𝑙 𝑜𝑏𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒 𝑚𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 𝑛𝑢 𝑒𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑡𝑟𝑒𝑚𝑏𝑙𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑢𝑖. 𝐴𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑢𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑛𝑢𝑡𝑒𝑠, 𝑖𝑙 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑡𝑠 𝑎𝑢 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑢𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑎 𝑡𝑒̂𝑡𝑒, 𝑠𝑢̂𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑗𝑒 𝑛𝑒 𝑚𝑒 𝑑𝑒́𝑏𝑎𝑡𝑡𝑒 𝑝𝑎𝑠. 𝐼𝑙 𝑠𝑒 𝑝𝑒𝑛𝑐𝘩𝑒 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑚𝑜𝑖 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖𝑟 𝑚𝑜𝑛 𝑜𝑑𝑒𝑢𝑟, 𝑠𝑒 𝑝𝑒𝑛𝑐𝘩𝑎𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑚𝑜𝑛 𝑜𝑟𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒. 𝐽𝑒 𝑙'𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑑𝑠 𝑚𝑢𝑟𝑚𝑢𝑟𝑒𝑟 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑗𝑒 𝑛'𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑝𝑎𝑠. 𝐽'𝑎𝑖𝑚𝑒𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑚'𝑒́𝑐𝘩𝑎𝑝𝑝𝑒𝑟, 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠, 𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑣𝑖𝑣𝑟𝑒 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑗𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝑡𝑟𝑎𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑣𝑟𝑒. 𝐽𝑒 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑒́𝑐𝑎𝑟𝑡𝑒𝑟 𝑚𝑒𝑠 𝑗𝑎𝑚𝑏𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑗𝑒 𝑡𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑓𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑒 𝑑𝑒́𝑏𝑎𝑡𝑡𝑟𝑒. 𝐽𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑠 𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑒 𝑚𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑗𝑒 𝑛𝑒 𝑣𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑎𝑠. 𝐽𝑒 𝑣𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑚𝑒 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑞𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒 ! 𝐽𝑒 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑚𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑜𝑢𝑟𝑛𝑒𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑣𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑝𝑜𝑠𝑒𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑠𝑢𝑟 𝑚𝑎 𝑏𝑜𝑢𝑐𝘩𝑒. 𝑃𝑟𝑖𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑢𝑙𝑠𝑖𝑜𝑛, 𝑗𝑒 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑟𝑑𝑠, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑐̧𝑎 𝑛𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑙𝑒̀𝑟𝑒. 𝐼𝑙 𝑟𝑒𝑚𝑒𝑡 𝑠𝑎 𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑠𝑢𝑟 𝑚𝑎 𝑏𝑜𝑢𝑐𝘩𝑒 𝑒𝑡 𝑗𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑒́𝑛𝑖𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑚𝑒𝑠 𝑓𝑒𝑠𝑠𝑒𝑠. 𝐼𝑙 𝑎 𝑙𝑎̂𝑐𝘩𝑒́ 𝑚𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑗𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑠 𝑜𝑢 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑢𝑥𝑖𝑒̀𝑚𝑒. 𝑆𝑜𝑢𝑑𝑎𝑖𝑛, 𝑗𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑑𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑚𝑒𝑠 𝑓𝑒𝑠𝑠𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑗𝑒 𝑚𝑒 𝑚𝑒𝑡𝑠 𝑎̀ 𝘩𝑢𝑟𝑙𝑒𝑟. 𝐿𝑎 𝑑𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑖𝑟𝑟𝑎𝑑𝑖𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑚𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 𝑒𝑡 𝑗𝑒 𝑚𝑒 𝑑𝑒́𝑏𝑎𝑡𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑎𝑟𝑟𝑒̂𝑡𝑒 𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑛 𝑡𝑟𝑎𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒.
- 𝐶𝑒 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑖𝑔𝑡𝑠, 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑐œ𝑢𝑟. 𝐷𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑑𝑠-𝑡𝑜𝑖 𝑒𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑖𝑟𝑎 𝑏𝑖𝑒𝑛.
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A corps perdusOù les histoires vivent. Découvrez maintenant