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Novembre 2019

Italie

PDV JULIANA

Je soupire et me laisse tomber sur le lit. Les pleurs de notre fils remplissent la pièce.

-Il a de la voix. plaisante une sage femme.

-Il va bien? demande Idriss.

-Oui, c'est un beau bébé de 2kilos8. Et il est grand 58 centièmes. Maman je vous laisse décaler votre blouse.

On pose mon fils contre moi, elle le recouvre d'un draps.

-Coucou toi. je dis.

-Il est si petit.

-Mon bébé.

-Il est magnifique.

Je regarde Idriss il a les joues pleine de larmes. Son regard se pose sur moi, il me sourit et m'embrasse. On est rester un moment dans notre bulle jusqu'à ce qu'on nous amène dans une chambre. Arrivé là haut, c'est Idriss qui le prend contre lui. Je prend mon portable et je les prend en photo.

-Comment c'est possible d'aimer quelqu'un si vite et si fort? me demande Idriss.

-J'en ai aucune idée.

-C'est magique. Il est beau mon fils.

Je souris en baillant.

-Dors. me dit Idriss. Je veille sur vous deux.

-Tu me réveil si il pleure

-Promis.

J'ai du m'assoupir que quelques temps, car ces pleurs me réveil vite. On est perdu sur ce qu'il a alors on appel une infirmière.

-Il a seulement faim. elle nous rassure. Vous souhaitez donner le sein?

-On peut essayé.

-Je vous laisse le donné à votre femme.

Idriss nous donne notre fils, et je m'installe. Elle m'aide à lui donner, mon fils prend mon sein directement.

-Je vois qu'on ne vous a pas demandé son prénom.

-Ali? je demande à Idriss.

-Ali?

-C'est le prénom de ton grand père non?

-Oui.

-Moi j'aime beaucoup ce prénom, et j'aime le fait qu'il soit en lien avec un de ces ancêtres. Si ça te va.

-Ali. confirme Idriss. Il s'appel Ali.

PDV IDRISS

On a passé deux jours à l'hôpital avant de rentré tous les trois chez nous. On est quelques peu égoiste avec Juliana. On a décidé de ne rentrer que pour les fêtes de décembre. Il est hors de question que le petit prenne l'avion trop tôt. Et on veut un peu le garder pour nous. Nos proches vont se contenter de photos et de vidéo.

-La douche fait du bien. soupire Juliana.

-Tu prends mes affaires.

-Je suis mieux là-dedans. Déjà que je fou des couches.

-Je vous admire.

-Nous?

-Les femmes. Tu as vu ce que tu as subi en si peu de temps? Moi je subi un dixième de ta douleur je fais un malaise.

-N'importe quoi.

-C'est vrai.

-Tu l'as installé?

-Il est dans le berceau.

Elle va voir notre fils qui dort à point fermé.

-Le pyjama est déjà petit. elle soupire

-Il a déjà beaucoup trop grandi.

-J'ai hâte qu'il rencontre tout le monde.

-Ca va être fou de le voir dans les bras de Yemma.

-Et de mes parents. Il est là mais je ne réalise pas. elle dit en venant dans mes bras.

-On réalisera quand il pleuras cette nuit.

-C'est pas grave. On va mettre le co-dodo de mon côté.

-Pourquoi?

-Que tu te reposes. T'es encore crevé de l'accouchement.

-Je ne vais pas plus dormir.

-Si. Tu as des poches sous les yeux.

-J'ai pas le choix.

-Du tout. Vois le bon côté de choses, tu as un mec incroyable.

-C'est vrai.

On a passer la journée à trainé dans le canapé. On s'est levé pour Ali qui pleurait. Idriss fait à mangé pendant que je lui donne le biberon. Finalement le sein n'aura été utiliser que très peu. Et ce n'est pas pour déplaire à Idriss qui peut lui donner le biberon.

-Et voila madame, un plateau de charcuterie et du vin.

-Mon dieu je t'aime. Donne moi du saussisson.

Je soupire de plaisir en mangeant cette première tranche.

-Ca m'a trop manqué.

-J'avais pas compris.

-Fou toi de ma gueule.

-Et après tu vas te plaindre d'avoir des boutons.

-Là, je m'en fou totalement. Et puis je peux manger bien mal vu que je n'ai pas grossis.

-Même si tu avais grossi, tu peux.

Je bois une gorgé de vin puis pose le biberon. Je fait roté mon fils qui ne me vomit pas dessus pour une fois.

-Il a ton nez. je dis. Et tes yeux noirs.

-Et mes cheveux.

-Il a tout de toi.

-Il a pris toute la beauté de son père. Hein mon fils.

-J'espère qu'il a pris le caractère de sa mère.

-C'est bizarre, pas moi.

Je frappe mon copain et il rigole.

-Il a tes mains. dit Idriss. Les longs doigts fin, c'est les tiens.

-Il est beau notre fils.

-Ouais, on l'a réussi.

-Ca clair.

Idriss l'a changé, j'ai un peu de mal à me plié en quatre. Il le couche dans son lit. On a mangé devant la télé avant d'aller se coucher tous les trois.

Tentation FRAMALOù les histoires vivent. Découvrez maintenant