Tentation FRAMAL

67

Aout 2025

Italie

PDV JULIANA

Idriss à eu l'idée qu'on aille mangé dans Florence. Il fait très beau ce soir, alors j'avais envie de me sentir belle. J'ai fait pêter ma plus belle robe d'été. J'ai mis ma petite princesse en bombe aussi. Il fait chaud, je ne l'ai pas trop couverte et mis une petite robe légère avec deux petites couettes. Parce que oui elle a enfin assez de cheveux pour faire des petites couettes.

-Excusez moi, êtes vous sur d'avoir eu deux magnifiques enfants? demande Idriss.

-Et oui.

Il sourit et m'embrasse. Il a mis un petit chino avec un petit polo. Parce que oui, j'ai enfin réussi à lui faire mettre des chino. On a pas pris la voiture, il voulait y aller à pied. Amaya dans la poucette on profite du temps pour rejoindre Florence.

-Et mais qu'est ce qu'ils font là? je demande.

Je suis surprise de tomber sur nos amis italien attroupé à quelques mètres.

-Vous faites une sortie sans nous. je dis. Vous me décevez.

-Madame mais on est là pour toi. sourit Giulia.

-Ca fait plaiz de te vois canon. dit son mec.

-Grave pour une fois que t'es pas à quatre pattes dans tes parreterres. rigole Alice.

-Mais niquez vous.

Je me retourne et il n'y a plus Idriss.

-Mais il est passé ou?

-Tu viens on avance. dit Andrea son mari.

-Bah ouais. je dis. Vous venez avec nous au restau?

-Tata tu as vu j'ai coupé mes cheveux.

-Mais oui. T'es tout beau. je dis en répondant au fils d'Alice et Andrea.

Je m'arrête en voyant le S devant moi, mais sans mon mec.

-C'est quoi ce truc? je demande.

-Tu nous confie la princesse? demande Giulia.

Confié ma fille c'est quelques choses qu'on ne fait jamais. Je ne l'ai jamais ne serai-ce que dix minutes avec quelqu'un d'autres que son père.

-Je te promet que ce n'est pas longtemps et qu'on y fait attention comme si c'était le notre. dit Alice.

-Okay.

Je dis.

J'embrasse ma fille qui joue avec le fils de mes amis. Ils s'en vont et moi j'avance vers mes autres amis.

-Mais qu'est ce que vous faites là? je demande.

-On est obligé de venir, vous nous snober de fou. dit Ken.

-N'importe quoi. je dis. Vous savez pourquoi.

-On t'emmerde. dit Théo. Pour une fois qu'on peu.

On avance et c'est la suite de l'entourage qui est là. Le S est parti et j'ai continu avec le reste de l'équipe. Ils m'ont laissé ensuite à leurs femmes.

-Y'en a encore beaucoup? je demande.

-Je sais pas. répond Adèle.

-Et Isma?

-Il est pas loin t'inquiète.

-Putain mais non.

J'ai courru dans les bras de mes deux meilleures amies. On a sauté en criant toutes les trois. Les passants ont du nous prendre pour des folles.