Hina : Vie De Yakuza

Satoshi

À quoi joues-tu ? Tu sais très bien que c'est dangereux, qu'elle est dangereuse, tu le sens au fin fond de tes putain de tripes. Tu es censé te trouver une femme de bon rang, qui sait où est sa place. Une qui te respectera et qui te sera soumise. Une femme qui ne sera là que pour entretenir ta maison et élever tes enfants. C'est ce que mon père aurait voulu, c'est ce qu'il a toujours voulu. Pas d'amour. Pas de sentiments. Surtout quand on a un empire à tenir. Mais comment résister ? Cette femme vient tout droit des enfers prête à consummer mon âme et s'il le faut, je lui donnerais.

- Tu me rend fou putain, soufflais je à son oreille.

Je déchire son chemisier, faisant éclater les boutons. Son air surpris et ses joues roses ne changeront rien. Je dégraphe son soutien-gorge et son corps frissonne, Je le sens sous mes doigts, sa bouche s’entrouvre à mesure que mes lèvres glissent sur sa poitrine généreuse. Sans se contrôler, elle gémit quand j'aspire goulûment son téton durcit. Ma queue me fait de plus en plus mal. Ses petits doigts délicat deboutonne ma chemise puis glisse sur mes épaules et mes abdos.L'encre entre ses seins m'ensorcelle, je suis comme aimanté.
J'écarte ses cuisses, nos corps se moulent parfaitement. Je lèche son tatouage sur toute sa longueur avant d'embrasser son cou.
Elle se cambre contre moi, m'attire contre elle pour que je lui en donne plus. Ses mains tirent sur mon cuir chevelu, me donnant une douleur agréable.

- Satoshi, souffle t-elle à mon oreille

Sa voix m'hypnotise, Je déchire littéralement ce qui lui servait de culotte.

- Tu es à moi Sakura, dis-je en embrassant sa mâchoire

- Je suis à toi.

*****

Le silence. C’était calme et reposant. Sa présence me rend léger et m’apaise. En cuillère contre moi, je recule légèrement pour admirer ses fesses rebondit collées à mon entrejambe. Je passe un doigt léger sur son dos parfait avant de presser légèrement ses fesses.
Je me colle à elle, puis passe un bras sur son flanc, la collant davantage à moi. Elle gémit légèrement, puis je referme les yeux, profitant de cette plénitude.

Je me sens repartir. Je ne sais pas quelle heure il est, je n’en ai rien à foutre. Mes obligations ? Rien à foutre. Je veux seulement être normal quelques minutes de plus.
Les yeux fermés, l'odeur de ses cheveux a un effet soporifique sur moi.
Mais elle n'était pas du même avis. Je la sens gesticuler contre moi. Elle me regarde par-dessus son épaule, puis essaie de se dégager mais je ressers mon emprise puis enfouie mon visage dans le creux de son cou goûtant la chair de sa peau avec ma langue.

-Tu comptes aller où ?

- Travailler, dit-elle.

- C'est moi ton boss, je te donne ta journée.

Elle glousse légèrement et je ne peux m'empêcher de presser son sein et de jouer avec son teton deja dur. Sa main passe sur le côté de mon visage et atterrit dans mes cheveux.
Je la plaque contre le lit et grimpe sur elle. De mon genoux, j'écarte ses cuisses musclées. J'étais deja pret et elle aussi.

-Laisse-moi faire, dit-elle, les yeux brûlants de désire.

Elle me retourne et me plaque contre le lit, à califourchon elle ne portait pas de culotte puisque qu'elle était en miette dans un coin de la pièce. Je caresse toutes les surfaces visibles de son corps. Cette femme est un démon tout droit sortie des enfers et ca me plaît.

À deux doigts de franchir le seuil de son intimité, la porte de ma chambre s'ouvre dans un fracas. Sakura crie. Instinctivement, je la pousse derrière moi et attrape mon arme cachée sous mon coussin. L'adrénaline me prend j'allais tirer quand cet Imbécil de Yakuza se met à genoux, les mains en l'air.