Si je pouvais changer l'histoire...

Chapitre onze

PDV Orya

Orya : « Pff... Aller motivation max ! On va retrouvé Ace, mais avant... Shanks !

Je m'assis sur ma barque cherchant le chemin de l'île sur une carte de Grand Line fais par mes plus grand soin me basant sur les quelques cours de navigation que j'avais pu avoir dans mon autre monde.

Orya : - Bon ! Ça dois être cette île ! Enfin je dois d'abord aller tuer quelques marines... Pour ma prime... Oh je sais !

Je me dirigeai vers la ville où je trouva une petite boutique qui était exactement ce que je cherchais : une boutique de carnaval. J'ouvris la porte et entra.

Orya : - Bonjour.

Une dame : - Bonjour, que chercher vous ?

Orya : - Je cherche un joli masque pratique, est ce que vous en auriez ?

La dame : - Oui. Suivez moi... Voilà !

Un rayon de masque s'étendait sur quelques mètre. Je vis une étagère avec marquer « animaux ». Je m'approchai et vis des dizaines de masque d'animaux, imaginaires et réel. Un attira particulièrement mon attention : un masque de renard blanc avec quelques rayures rouges. Il était magnifique... Je le pris dans ma main.

Orya : - Combien coûte ce masque ?

La dame qui ne m'avait pas lâché des yeux depuis tout à l'heure me répondit :

La dame : - Cent Berry. C'est à quel nom ?

Orya : - ... La vagabonde sans but.

Je lui tendit l'argent et partit. Je retourna à ma barque avec le masque. Je le mis ainsi que ma cape et partit mon log pose au poignet.

Orya : - C'est trop bien ! Je vais devenir pirate !

Je me dirigeais vers l'entrée de Grand Line et allais me ravitailler sur différentes îles selon le chemin que mon log pose m'indiquais. Pendant quelque semaine je vécu ainsi : de débarquement discret pour se ravitailler et de la fuite momentanée de la marine jusqu'au jour où je me révélerais au monde.
Je marchais en direction de la ville lorsque tout à coup j'entendis des cris et des rires barbares.

Une femme : - Madame, madame ! Ne sauriez vous pas où se trouve la marine ?! Des pirates son en train de tuer sur mon petit garçon !!!

Elle était en pleurs et respirait de façon saccadée. Je regarda derrière elle. Des pirates s'apprêtaient à trancher la tête du garçon. Je soupira. C'était bien le moment !

Orya : - He ! Les pirates vous avez pas honte de vous attaquer à moins fort que vous ?!

La femme : - Qu'est-ce que vous faites ! Vous aller vous faire tuer !

Orya : - Non ! J'ai bien trop de chose à faire avant !

Un pirate avec une cicatrice : - Hey , mon gars, t'as pas l'impression de te tromper de camps ?!

Orya : - Non pas le moins du monde !

Un autre pirate : - Alors c'est dommage mais on va devoir te tuer ! Commençons par lui !

La femme : - Noooon !!!

Il abatis sa lame vers la tête du garçon. Je stoppa son mouvement avec mon poignard. Il me regarda stupéfait.

L'autre pirate : - Qui... qui est tu ?

Orya : - Le vagabond sans but

Je cachais mon véritable sexe. Tout à fait normal quand l'on devient une pirate ! Il est dit que moins les gens en savent sur toi plus tu es en sécurité...

L'autre pirate : - Boss ! Celui ci s'interpose en moi et le gamin !

Le boss : - Qu'est-ce que tu me veux le vagabond ?

C'était un homme gros et gras qui empestait l'alcool à plein nez.

Orya : - Juste que tu laisse cet enfant tranquille !

Pendant ce temps le garçon était retourné avec sa mère et s'enfuyait maintenant avec elle. Je fixais toujours le boss dans les yeux.

Orya : - Bon bah vu qu'il se sont barré, je m'en vais, salut !

Le boss : - Tu crois aller où comme ça ?! Espèce de f*is de pute !!!

Je me retourna. Lui enfonça un poing dans la face et admira son magnifique vol plané ainsi que son atterrissage tout aussi délicat qui se fis contre le coin d'un mur. Un son guttural sortit étouffé de sa gorge accompagné par un gracieux bruit de craquements.

Orya : - Si tu le redis ne serait-ce que pour rigoler, je te fais subir bien pire...

Ce qu'il avait dit était vrai... Dans mon autre monde, j'étais une erreur, et il avait fait l'erreur de me le rappeler...

Orya : - Sayonara baka!

   Derrière mon masque les larmes coulaient bien qu'elles ne se voient pas on pouvait voir de minuscules sanglots secouer mes épaules. Ma capuche tomba, et me ramena malgré moi à la réalité.

Un marine : - Excusez moi madame mais pouvez vous m'expliquer qui as mis ce pirate d'une prime de huit millions de Berry dans un tel état ?

   Mon calme revint aussi vite qu'il était parti et d'une voie monotone je répondit :

Orya : - Le vagabond sans but...

Le marine : - Et qui est ce ?

   Je l'éjecta contre un mur lui aussi et parti en criant.

Orya : - C'est moi et je suis pirate !