Nouveau départ

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C'était une chaude journée d'été.
Renzo venait de humer l'air de la liberté.
Casquette bien descendue sac à dos bien accroché. Il avait porté son jean bleu avec son tee-shirt cachemire, on croyait avoir affaire à un touriste des Bahamas.
"Je ne veux plus avoir affaire à cette ville" se dit Renzo pensif
Il prit un taxi direct le garage. Là-bas, il prend une voiture pour la capitale. Il paya toute les places de derrière.
Malgré qu'il voulait se faire discret un voisin d'Aya l'avait reconnu et croyait que c'est le Père d'Aya qui lui avait donné tout cet argent pour son silence.
Le sac bien posé sur la siège d'à côté, il le regardé en pensant avec tout l'argent que j'ai gagné je peux me refaire une vie de rêve.
Les ONG avait misé gros sur lui et les projets ont rapporter des centaines de millions.
Toutes les formations étaient payantes.
En somme il y'avait 5 millions dans le sac sans parler des futurs projets déjà signé qui ont été en pose avec sa libération.
Sur tout le trajet il n'a cessé de penser à sa colombe et de la vie qu'il veut refaire avec elle.

Dans la capital, il décide de s'installer au fond de la banlieue dans les niayes les quartiers marécageux.
Il avait des projets et éviter pour le moment ces parents en ville.

Deux mois plus tard, la vie avait repris son cours.
Comme un rituel Renzo restait au bord de l'océan pour contempler le coucher du soleil.
Il était toujours pensif et ne voyait jamais la nuit arrivée. Il a failli même être agressé. Si ce n'était pas e mode de langage qu'il avait appris en prison le groupe de jeune dealers allait le lynché grave.
Il avait finit par faire d'eux ses amis et connaître même le chef de gang

Le chef de gang: mais boys, tu veux mourir

Renzo: je suis déjà mort l'ami

Le chef de gang: donc prendre ton souffle ne me sert à rien.

Renzo : si car je suis millionnaire

Hahahahahaha
Hihihihihi
Hohohoooo
Les rires fusaient de partout

Un des dealers: mais djo le pothio la est kayni (le mec la est fou)

Le chef de gang : je te le fais pas part (je te le dis pas) -- Je crois que tu veux mourir inutilement l'ami

Renzo: non du tout je veux simplement vous dire la vérité. J'ai fait la djel

Le chef de gang: toi la prison ?

Renzo : Oui avec 5 ans fermes

Le chef de gang: Respect gas ! Tu l'as fait où ?
Renzo: Dans le centre

Les bandits ne donnaient pas les lieux des prisons mais chaque prison avait son nom donc quelqu'un qui en a fait le savait.

Le chef de gang: mais je connais mon jumeaux bagass est là-bas

Renzo : j'étais dans la 14  comme  lui avant d'avoir ma chambre. Donc c'est toi zehpha

Le chef de gang : Oui donc tu le connais

Il lui tend la main Renzo lui dit Renzo en prenant sa poignée de main en salut de bandits

Zehpha : ici c'est chez toi l'ami. Je ferai passer l'information.

Renzo : Merci frère.

Zehpha parti avec son groupe tout en lui promettant

Chaque soir c'était le même rituel bain dans l'océan quelques exercices couché sur le sable le temps que la nuit passe jusqu'au jour où il vu deux jeunes femmes que 5 jeunes du groupes de Zehpha cherchaient à agresser.
Elles couraient vers lui. Dans son petit lit de sable Renzo n'avait rien remarqué de ce manège jusqu'à ce que ces dernières lui marchent dessus.
Dans son sursaut, il fait fasse aux cinq petits gosses

Renzo : qui y'a-t-il vous?

Gosses : laisse nous les prendre quelque choses pour montrer à Zehpha que nous sommes des grands maintenant.

Renzo :  c'est pas comme ça les petits il faut attendre le rituel de passage..... En plus est-ce que c'est Zehpha qui a demandé.

Gosses : heeuuuu non

Renzo: donc pas de bêtises ce soir

Résignés, les enfants rebroussent chemin et s'excusant. Renzo les regarde jusqu'à ce qu'ils deviennent plus petits à l'horizon. Comprenant qu'ils ne vont plus faire de bêtises, Renzo se retourne vers les femmes haletantes qui étaient derrière lui.

Dames : Merci grand vraiment merci

Renzo: éviter de venir ici avec des objets de luxe où des habits tapent l'œil

Dames : c'était pas notre destination, on était allé voir une amie qui habite ici. Mais comme elle avait une urgence donc au lieu de rentrer, on a voulu faire un tour ici

Dame : Maycha si tu n'étais pas têtue, on n'aurait pas de problème

Maycha : je ne sais pas mais j'avais une envie plus forte que moi

À ces mots Renzo se fige net, il fixa cette Maycha qui venait de parler

Renzo:  Maycha hmmm, tu sais tu me donne l'impression de te connaître

Maycha : Moi aussi

Renzo : tu me permet ? Dit-il en prenant son téléphone pour mieux éclairer.

MAAA COLOMBE
En guise de réponse, elle se jette sur lui, à le faire tomber par terre.

Le monde avait changer en un quart de tour. Car rien ne compter que cette instant
La femme qui était avec Maycha n'en revenait même pas, mais surtout elle ne comprenait pas ce qui se passait devant elle.
Maycha qui a passé toute sa vie à faire fuire les hommes du quartier partout c'était une Maycha désagréable qu'on voyait. Mais là c'est une autre Maycha qu'on voyait, elle était plus la même.

Renzo : comment va ma colombe

Maycha : elle va bien mon roi

En l'espace d'une seconde l'envie les tenait déjà
Renzo sentait déjà les téton de sa colombe pointaient durement sur son torse et Maycha junior qui se frotte à ses cuisses.
Sans dire mots, tout les deux savouraient le moment présent.
Il n'avait même pas entendu la compagne de Maycha qui prévenait qu'il se fesait tard, qu'il fallait rentrer.
Le plaisir était tellement intense que leur culotte avait mouillé. Les cuisses en avait ressenti les effets.

Demain, je viens chez toi continuer là où on s'est arrêté Murmure Maycha dans l'oreille de Renzo

Renzo : échangeons nos téléphones pour cette nuit en venant appelle arrivé payé.
Ils se lèvent, Renzo lui nettoie ses habits et s'excuse chez la compagne avant de prendre congé en partant.

JE NE SUIS PLUS VIERGE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant