Suis-je une pétasse ?

5.2K 253 19
                                    

-Aya vient ici!
-Oui maman ! j'arrive, je me déshabille
-Vient comme ça
Pourquoi maman ne me laisse pas le temps de me déshabiller? Elle m'a toujours fait savoir qu'il faut se défaire de ses habits d'école avant de faire quoi que ce soit. Me dis-je pensive
-Oui maman
Comme toute réponse c'est un silence de mort qui me foudroie.
En un quart de tour mon cœur se mit à battre tellement fort que l'on se croirait regarder un film d'horreur, ou le danger était tout proche.
-tu t'es regardée ?
-han dis-je les yeux écarquillés
-je demande est-ce que tu t'es regardée ?
Je sentais dans sa voix une chose indescriptible comme une déception mélangée à de la colère.
-regardes toi, continua-t-elle
Mes yeux parcours mon bustier jusqu'à mes chaussures.
Les secondes de répit qu'elle me laissa durèrent une éternité car je puis faire ma description comme une collégienne de la 6e.
Sujet: décrivez Aya debout devant sa mère
Intro:
je vais vous faire la description d'une fille qui me fait fait des rêves mouillés la nuit
Développement:
Aya est une fille mignonne. Elle a des seins en forme de pomme ni très grands ni petits. Elle porte un bustiers décolleté en V qui laisse apparaître ses seins et donner envie aux hommes.
Elle porte un beau jean bleu turquoise taille basse laissant apparaître un dessous noir. Elle a de belles fesses bien câblé à un réseau tracé vers un sillon de la silicone valey😂 avant ces cuisses dévoilées par les déchirures de son Jean.
Conclusion:
J'aime Aya car elle est sexy à mort.

Voilà la Aya qui était en face de sa maman

De fille modèle, je me suis retrouvée à rivaliser avec mes paires.
-Alors Qu'est-ce que tu as vue
En lieu et place ce fut des larmes en réponse
- Tu pleures pourquoi
-Pardon maman
-Q...  quoi j'ai entendu pardon? Tu te fous de moi où quoi?
Ma mère me hurler presque comme si elle s'apprêtait à me tuer car, d'un bon, les mains en l'air qui viennent s'abattre sur mon corps, le visage défiguré par la colère, elle avait bondit sur moi.
J'aurais jamais crû que ma mère de la classe des dames de la haute société sénégalaise, qui m'a toujours apprise les bonnes manières, mais surtout du rang des "jongoma" femme africaine avec les formes généreuses et de grande taille pouvait me sauter dessus comme une fauve affamée.
Comme une tortue j'étais déjà accroupie à terre attendant ma première bastonade.
En lieu et place je reçois un coup de pied au fesses suivi de <dégage de ma vue avec ton acoutrement de dévergondée>
Snif Snif.... au milieu des pleures sur mon lit qui aujourd'hui n'est pas douillet, je repasse l'histoire de ma vie ces dernières semaines

JE NE SUIS PLUS VIERGE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant