Amour Immortel {Terminée}

C H A P I T R E 25

Andrea

Je me fais royalement chié. Ça fait deux jours que je suis à l'hosto et mes poumons on toujours pas lâché.

Ouai !

Je continuais de m'ennuyer quand quelqu'un frappa à la porte qui s'ouvrit sur mon blondinet préféré.

- Bonjour, comment tu te sens ? Je souris à pleine dent.

- Je vais parfaitement bien, si on fait abstraction de mes jambes bien sûr. Il me sourit avant de s'installer au bout de mon lit. Et toi comment tu vas ?

- Je vais bien. Il y eut un blanc où on se regarda ne sachant pas trop quoi dire.

- Vous aller rester longtemps ?

- On sait pas, on reste le temps que le monde n'a pas besoin de nous.

- Le monde a toujours besoin de toi Mac. Il ne le fait juste pas savoir tout les jours. Il me regarda en silence et je fis de même détaillant ses yeux bleus et ses lèvres avant de détourner le regard. Tu sais si il y aura une enquête ou autre à propos de l'attentat ?

- Hum, oui. Mais on aucunes preuve de ta présence les caméras était HS.

- Ma chance légendaire à encore frappé. Il eu un petit rire.

- - -

On a parlé de tout et de rien après. Il était peut être 18, ou 19h et c'est la seule personne que j'ai vu de la journée, et c'était très bien comme ça. Le seul petit problème c'est que j'avais l'impression d'être essoufflé mais j'avais vu bien pire.

- Alors tu es rentrée au MIT, tu es partie sur le terrain, tu as rencontre Jack puis Nicky vous avez bossé ensemble pour Patricia mais c'était une traîtresse ?

- C'est un résumé plutôt bien fait je dois l'admettre.

- Et avec Nicky du coup ? Toujours d'actualité ?

- Non. Elle nous a trahi et c'est pour ça que Jack était assez sur ses gardes quand tu es arrivé.

- Oh, ça ce comprend. Que Jack s'inquiète. Ajoutai-je rapidement.

- Ouai. Et toi du coup, tu as déménagé, rentrer en école de police avant d'entrer au 5-0 pour rentrer à la CIA quand Éric c'est réveillée. Mais tu as eu quelqu'un entre temps ? Je pinçai les lèvres.

- Un seul. C'était un gros connard.

- Ah. Je peux demander plus d'informations ?

- Thomas Idelson, on c'est rencontré dans un bar d'Hawaï pendant une mission avec les 5-0. On c'est revue ça a duré deux ans, jusqu'à ce que je tombe enceinte. J'attendis un moment jouant avec mes doigts. Je lui ai annoncé et ça réponse a été " Désolée je suis marié et ma femme est enceinte ".

- C'est un connard. S'énerva Mac.

- Je le sais déjà. Donc j'ai gardé mon fils qui est né à trois mois du thermes, sa femme était à l'hôpital au même moment comme le hasard fait bien les choses. Mais la différence entre nous c'est que elle a un fils est moi non. Il me regarda l'air désolé et sa main qui était près de la mienne depuis un moment réduit la distance à zéro enlaçant nos doigts. Et tu sais quand j'ai pété un câble le lendemain de notre soirée avec l'équipe ? Il acquiesca. C'était la femme d'Idelson. Ils ont divorcé parce qu'elle a découvert quelques choses de très intéressant. J'avais un peu plus de mal à respirer qu'avant maintenant et ça devenait franchement gênant. Enfaite elle a perdu son fils, je repris mon souffle et comme il l'a pas supporté il a volé le mien. Son regard passa de l'incompréhension à la colère et la tristesse en plus d'être désolée pour moi. Mon fils est vivant et il sait même pas que je suis sa mère. Il le saura jamais. Ma voix se brisa sur la dernière phrase et j'éclatai en sanglot laissant couler les larmes qui mettait monté au yeux un peu plus tôt.

Mac s'approcha de moi me prenant dans ses bras et j'allais plutôt bien jusqu'à ce que j'ai du mal à respirer. Beaucoup de mal. Enfaite j'y arrivais plus.

Andrea repoussa doucement Mac commençant à paniquer voyant qu'elle n'arrivait plus à respirer. Elle fit le lien avec ce que Conrad lui avait dit et Mac comprit qu'il y avait un problème assez vite sortant pour prévenir les médecins qui arrivèrent en courant dans la chambre.

Andrea reconnu Devon Pravesh l'interne de son médecin qui bippa ce dernier.

- On doit l'intuber. Les deux médecins se mirent d'accord en un regard sous celui impuissant de Mac et suppliant d'Andrea qui voulait juste respirer.

Les médecins firent ça rapidement endormant Andrea avant de l'intuber. Quand ils eurent fini Mac les interpella.

- Qu'est-ce qui c'est passé ? Pourquoi elle était comme ça ? Ils se regardèrent avant que Conrad ne lui explique ce qui ne plairait pas à Andrea a son réveil.

- Elle avait une plaie à l'abdomen quand elle est arrivée ici. Son poumons gauche a été touché on s'en ait occupé mais elle est en attente pour une greffe.

- Pourquoi ne pas nous l'avoir dit ?

- Parce qu'elle me l'a demandé. Lui répondi Conrad qui était impuissant en regardant Andrea inerte comme une morte sur son lit.

- Vous avez des donneurs ?

- On cherche encore. Mais il y a des chances qu'on en ait dans la soirée ou peut être demain. Elle correspond à tout les critères d'éligibilité pour une greffe les premiers poumons disponibles sont pour elle.

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Deux semaines. C'est le temps qu'il c'était écoulée avant que des poumons compatibles soit disponible. Dès qu'ils se sont libérés Conrad a sauté sur le téléphone pour que l'Atlanta General leur envoie sur le champ car même sous respirateur l'état d'Andrea se dégradait à vue d'œil.
M

ac était présent tout les jours. Il allait au nouvel tout les matins et avant de partir chaque soir. Quand il n'était pas là c'était Mattew et Cameron quand il n'était pas avec ses enfants ou Roxane.
Charlie était retourné à Los Angeles dans une famille d'accueil ses deux tuteur légal dans le coma.

Maintenant tous attendait qu'elle se réveille. Qu'elle revienne comme avant avec son sarcasme et ses remarques. Qu'ils puissent reprendre leur vie qui avait été mis en pause depuis sa disparition.

Elle elle rêvait. Vivant une vie parfaite avec sa meilleure amie et sa mère toujours vivante, son père qui vie avec lui dans leur maison, Charlie avec Mattew et elle avec Mac. Un beau rêve qui lui donnait envie de dormir pour toujours. Surtout quand elle voit ses enfants. Des jumeaux, une fille avec des cheveux roux ainsi ses yeux noisette et un garçon au yeux bleu comme ceux de Mac.

Le plus beau rêve de sa vie qui faisait le cauchemar de son entourage.