𝑫𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆 𝒅𝒆́𝒏𝒊

Chapitre 8

Pdv : Aphrodite

- MAMAN !?

Je vois ma mère au loin dans une fumée. J'hurle son prénom mais je crois qu'elle ne m'entend pas. Mon père est au-dessus d'elle en train de la frapper, ses coups sont tellement fort que du sang gicle sur les murs, il y en a plein aussi sur le sol blanc.

- ARRÊTE PAPA !

- FERME TA GUEULE TOI ET MONTE DANS TA CHAMBRE !

J'entends sa voix au loin je peux comprendre quelques mots mais ne comprend pas vraiment tout. Je suis comme paralysée je n'arrive pas à bouger, je le vois se relever de dessus maman et s'approcher vers moi, des larmes coulent sur mon visage et la panique envahit mon corps.

Sa main se dirige vers mon visage et je reçoit une gifle qui me pique la joue. Cette fois c'est son poing qui atterrit sur mon visage, je tombe au sol.  Et reçoi une dizaine de coups.

- A-ARRÊTE PAPA TU M-ME FAIS MAL. Parviens-je à dire

- Aphrodite, je suis là.

Je me relève si brusquement que je heurte quelque chose.

- C'est tout, ça va aller. Dis une voix que je reconnais, mais je ne le vois pas

Je tourne la tête pour lui faire face mais il part déjà de la chambre. Je descends prendre un verre d'eau et remonte me coucher.

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Je me réveille, me lève et part vers la salle de bain de ma chambre que je n'ai encore jamais été, prendre ma douche.

En sortant de la douche je me dirige vers le dressing pour prendre mes vêtements qu'à poser Arès il y a quelques jours. Mais je vois aussi des vêtements d'hommes, je m'avance vers ce qui semble être des chemises.

- Qu'est-ce que tu fous ici ?

Je sursaute en entendant sa voix grave, et me retourne vers lui et lui dit d'un air curieuse :

- Ce sont à qui les vêtements ? Quelqu'un d'autre vie ici ?

- Nan c'est mes vêtements.

Pourquoi ses vêtements sont dans ma chambre à moins que...

- C'est ta chambre ? Lui demandais-je perdu

- Oui, ce sont mes vêtements.

Alors depuis quelques jours je dors dans sa chambre et il ne m'a toujours rien dit.

- Pourquoi tu ne m'as pas dit que je dormais dans ta chambre ?

- Tu avais l'air de bien l'aimer alors je t'ai laissé dormir dedans, et si bien j'ai plein d'autres chambres.

Alors pendant tout ce temps je dormais bien dans sa chambre, je suis choqué qu'il ne m'ai pas foutu dehors la première nuit ou j'ai squatter sa chambre mais surtout son lit.

On se regarde quelques minutes sans rien se dire mais son regard finit par descendre sur mon corps ou je porte toujours ma serviette. Je me racle la gorge, gêné par la situation et quitte le dressing, avec mes vêtements et part dans la salle de bain pour m'habiller.

Le faite d'avoir vue Arès les souvenirs d'hier soir reviennent: quand j'ai fait un cauchemar. Arès était là, je me souviens de ses phrases qu'il m'a dit pour me rassurer mais après m'être réveiller il est tout de suite parti et il en n'a pas reparler tout à l'heure alors je suppose qu'il veut jouer le grand dur et ne pas évoquer ce sujet.