Chapitre 15

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Pdv : Aphrodite

- Aller encore !

Je suis épuisé mais Arès ne veux pas me lâcher, ce matin il m'a réveillé à 7h00 pour me dire qu'une grosse mâtiné de sport nous attendait. J'aime le sport mais ça faisait un moment que j'en avais pas fait.

Je frappe encore et encore dans le sac de frappe qui me fait face depuis une vingtaine de minutes. Arès me hurle de ne pas lâcher mais, mes bras tombent automatiquement de douleur le long de mon corps.

- Laisse la faire une pause. Dit une voix derrière Arès et moi.

Je me retourne vers cette voix et vois Emilio, je le remercie quand Arès prend la décision de me laisser tranquille 5 minutes. Je bois de l'eau et respire.

5 minutes après, pas une seconde de plus, il me fait face et me dit qu'il est temps de mettre en pratique.

Je ne comprend pas tout de suite mais comprends immédiatement quand il me jette des gants de boxe.

- T'es pas sérieux ? Demandé-je

- Il est toujours sérieux. Répond Emilio en rigolant

- Je suis sérieux Aphrodite, tu dois apprendre à te défendre. Dit Arès

Je ne cherche pas à débattre puisqu'il n'a pas vraiment tort.

Il me montre quelques techniques pour bien me défendre, et nous passons tout de suite à l'action.

- Je n'irai pas doucement je te préviens. Dit-il

- Démolie le, Aphrodite ! Crie Emilio avec un sourire

Je n'ai pas le temps de lui répondre que Arès m'envoie un petit coup dans le ventre pour commencer, je me mets en position de garde et lui envoie le même coup tout en gardant un de mes bras devant mon visage pour me protéger.

- Tu n'as que ça dans le ventre ?! Me demande Arès

Je ne cherche pas à lui répondre et lui envoie un coup beaucoup plus fort mais de l'autre poing.

- Oui ! Aller Aphro plus fort ! Me crie Emilio

Je n'ai pas le temps d'insulter Emilio sur le surnom qu'il m'a attribué que Arès répond à mon coup en essayant de me mettre un coup au visage, mais je m'abaisse pour pas qu'il me touche.

- Tu te fais avoir Arès ! Dis Emilio

- Ta de bon réflexe. Me dit Arès

- Tu me prends pour une faible ou quoi ? Répliqué-je

- Oh nan, je suis sûr que tu es capable de faire très mal.

Je ne réponds pas et lui assigne un violent coup de genoux dansant ses parties génitales. Il tombe au sol, et un sourire se forme sur mon visage.

- Tu t'es fait baiser mec ! Crie Emilio envers Arès

Je rigole en entendant ce que vient de dire Emilio. Je regarde celui-ci au sol, et il me dit :

- Je ne t'ai pas demandé de me castrer.

- Je sais. Répliqué-je avec un sourire

Je lui tend ma main pour qu'il puisse se lever mais ne la prend pas.

- Tu ne veux pas de mon aide. Demandé-je avec un sourire aux lèvres

- Non merci, après tout je suis le dieu de la guerre.

- C'est pour ça que tu t'es pris un K.O. Répliqué-je avec un énorme sourire

- On en a fini pour aujourd'hui.

𝑫𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆 𝒅𝒆́𝒏𝒊Où les histoires vivent. Découvrez maintenant