Chapitre 19

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Tw : attouchement sexuel

Pdv : Aphrodite

3 jours plus tard

3 jours sont passés depuis qu'Arès ma obligé à retourner à Los Angeles. Nous ne nous sommes pas adressé la parole depuis, je l'ai à peine croisé. Je me souviens aussi quand il m'a choppé la bouche avec tellement de rage que j'ai penser un instant qu'il aller me tuer. Ce matin il est parti pour la Nouvelle-Zélande, il m'a bien précisé en partant qu'il ne voulait pas me revoir à son retour.

Il est 14h29 quand je m'apprête à préparer mes affaires pour retourner à Los Angeles. Hier j'ai cherché une maison pour aller re vivre à Los Angeles car je ne me vois pas revivre dans cette maison où j'ai vécu les pires années de ma vie et surtout la mort de ma mère.

J'ai donc acheté une maison assez grande mais pas trop car je suis seule à y vivre à l'intérieur, j'ai également demandé à mes hommes de transférer les meubles que je voulais garder pour les emmener dans ma nouvelle propriété. J'ai aussi réussi à vendre la villa de mon enfance tragique assez rapidement, j'ai bien précisé à mes hommes de ne rien laisser à l'intérieur et les autres affaires que je ne voulais pas récupérer les donner à une association, aider les personnes en difficultés et très importent pour moi, je sais très bien que des personnes ne peuvent pas s'offrir tout ce que qu'ils veulent et je trouve ça tellement injuste, tout le monde devrais réussir à s'offrir tout ce qu'ils veulent. Quand j'ai fini de ranger toutes mes affaires je descends me faire quelque chose à manger, après manger je pars prendre une douche et pars me coucher.


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Je l'observe lui donner des coups encore et encore, mon rythme cardiaque ne fait que s'accélérer.

- Tu vas la tuer ! Arrête !

Je lui hurle d'arrêter mais il continue encore et encore, du sang gicle sur les murs ainsi que sur le sol blanc de la maison. Je crois être dans un cauchemar mais tout ça est réel.

Il est en train de tuer ma mère.

- Arrête putain tu es en train de la tuer !

Il se lève d'un coup sec du corps de ma mère plein de sang et sans vie. Il s'approche dangereusement de moi et me plaque contre le mur à l'aide de ça main qui sert mon cou.

- Ferme ta putain de gueule toi. Sinon je te réserve le même sort que ta misérable mère !

Tout est flou autour de moi, je ne vois que lui : mon père. Il me hurle encore déçu mais sa voix me paraît loin.

Mon souffle se coupa quand je sentis ses mains remonter le long de mon corps, je me débats pour pas qu'il me touche mais il emprisonne mes poignets entre ses doigts et les remonte au-dessus de ma tête.

Des larmes coulent sur mon visage, je le supplie d'arrêter mais il n'arrête aucun de ses mouvements. Il baisse mon jogging et laisse ses doigts parcourir mes cuisses.

- Arrête, s'il te plaît.

Il ne m'écoute pas et continue, il arrache mon t-shirt qui tombe au sol. Je suis désormais en sous-vêtements devant lui. Je me débats encore et encore mais il me bloque en me mettant des coups de poings dans l'abdomen ce qui me fait grimacer.

Je me lève en sursaut, je suis trempé de transpiration, mon rythme cardiaque est beaucoup trop fort. J'essaye de me calmer et bois un peu d'eau. Je descend, prend une cigarette, l'allume et la porte entre mes lèves. J'inspire la nicotine et putain qu'est-ce que ça fait du bien. J'ai fumé que deux, trois fois depuis que j'ai peut-être 20 ans, j'ai ressentis le besoin quand mon père n'arrêtais pas de me reprocher la mort de ma mère mais maintenant j'en ai besoin pour calmer mes cauchemars qui commence à être très bizarre.

𝑫𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆 𝒅𝒆́𝒏𝒊Où les histoires vivent. Découvrez maintenant