𝑫𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆 𝒅𝒆́𝒏𝒊

Chapitre 17

Tw : violence

Pdv : Aphrodite

- Aller on se réveille ! Dit Arès envers Alvaro

Ce matin, Arès ma dit qu'il allait au QG pour parler à Alvaro. Il m'a dit que la mafia qui nous a attaqué hier soir était la mafia Brésilienne. Il veut être sûr que Alvaro n'a rien avoir avec eux.

- Ok, vu que t'es réveillé on va parler maintenant. A tu étais en contact avec la mafia Brésilienne un jour ?

Alvaro rigole, ce qui fait monter la colère à Arès. Il ne perd pas de temps et lui loge un coup de poing au visage en continuent :

- Dépêche de répondre !

- N-nan, la mafia Brésilienne sont mes ennemis. Et puis comment veux tu que je les contacte ?

- J'en sais rien. T'es tellement un manipulateur qu'on ne sait jamais ce que tu peux faire.

Arès se rapproche de moi et je comprend à son regard que l'heure et t'arriver. Il m'a fait part de son choix toute à l'heure concernant Alvaro : il veut le tuer pour en finir au plus vite avec lui. Je ne suis pas contre puisque je veux aussi qu'il meurt.

- Tu vas me relâcher quand sinon fils de pute ? Dit Alvaro en s'adressant à Arès

- Je n'ai pas l'intention de te relâcher. Mais tout se finit aujourd'hui ne t'inquiète pas. Répond t-il avec un sourire qui fait froid dans le dos.

- Comment ça aujourd'hui ? Réplique Alvaro

- Tu reçois ton coup de grâce comme tu dis. Répond Arès avec un sourire.

Celui-ci ne perd pas de temps et prend un chiffon qui colle sur le nez à Alvaro, celui-ci se débat et hurle mais Arès en n'a rien à faire. Il continue, et prend un bidon d'essence et avant de le noyé il me dit :

- Tu peux sortir si tu veux.

Je lui répond non de la tête et observe la scène : Arès renverse l'essence sur Alvaro, celui-ci continue de se débattre mais Arès ne fait rien. Je regarde Alvaro en train d'agoniser et cela ne me fais rien, Quelques secondes plus tard Arès arrête tout mouvement et recule du corps d'Alvaro.

Il n'est pas mort, mais son pou est très faible, je tourne la tête pour observer Arès et vois qu'il prend un briquet.

Va t-il le brûler vif ?

Oui.

Depuis que je suis rentrer dans la vie d'Arès sans mon accord, n'oublions pas, j'ai fais la promesse à mon géniteur que c'est moi qui le tuerait, alors je prend le briquet à Arès, je l'allume, mais au moment où je veux le jeter sur le corps inconscient d'Alvaro, Arès me prend le bras et me demande :

- Et tu sûr ? Tu devra vivre avec la mort de ton père sur la conscience.

- Ça n'a jamais été mon père. Répondé-je avant de jeter le briquet allumé sur le corps d'Alvaro.

J'observe le corps de mon géniteur prendre feu. Celui-ci ouvre les yeux et hurle de douleur. Je le regarde et lui dit :

- Je t'avais promis, que c'était moi qui allais te tuer.

Il continue à hurler mais je ne fais pas attention.

J'observe le corps d'Alvaro bouger dans tous les sensés pour essayer de se débarrasser du feu. Je me sens vide.

Quelques minutes plus tard, le corps de mon géniteur est par terre, brûlé et sans vie. Arès éteins le feu qui continue de se propager et appel des hommes à lui pour se débarrasser du corps.