Chapitre 24

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Je ne sais absolument pas où il m'emmène mais je compte bien l'éblouir avec une superbe robe.

Je monte les escaliers pour aller prendre une douche. Sortie de la douche je me dirige vers mon dressing, je pioche plusieurs robes que j'ai : c'est Arès qui me les a acheter quand je suis partie à Los Angeles, ce qui m'avais énormément surprise, après quelques minutes d'hésitation je fini enfin par en choisir une : c'est une robe en satin noir qui tombe jusqu'aux chevilles, il ni a pas de brettelles ce qui ma fais fondre sur cette robe et le dos est nue.

Je me maquille légèrement en mettant de l'highlighter, du blush et pour finir du gloss transparent. Je porte diverses boucles d'oreilles car j'ai trois trou de chaque oreilles et un collier doré avec pour pendentif en forme de petit cœur bleu en diamant. Je me parfume légèrement et  descend les escaliers et trouve Arès assis sur le canapé. En se tournent vers moi il me dit :

- Enfin pr...

Il ne finit pas ça phrase ce qui me fait rire, le dieu grec a perdu les mots à ce que je vois.

- Tu es... très... tu es très jolie, finit-il par dire.

Mes pommettes deviennent rouges, je baisse alors la tête pour pas qu'il voit que ce qu'il vient de me dire me fis rougir. Je n'avais jamais reçu de compliments de quelqu'un mise à part Ambre jusqu'à maintenant.

- Aller on ni va, sinon je vais avoir envie de jouer avec tes cordes vocales. Dit-il en partant vers la porte d'entrée.

Un hoquet de surprise sortit de ma bouche par sa révélation. Est-ce que je pensais bien à ce que lui penser ou je m'imagine n'importe et c'est moi qui ai l'esprit tordu ? Avait-il vraiment envie de faire ça avec moi ? Nan.

- Arrête de t'imaginer la scène mi belleza, ça arrivera un jour ou l'autre, dit-il avec un sourire malicieux.

Mes pommettes redeviennent toutes rouges ce qui fait augmenter ma gêne. Pour ne pas paraître suspecte, je baisse la tête et sort de la villa. Le trajet se fit en silence à ma plus grande surprise, moi qui pensais qu'il aller me faire chier avec se qui c'était passer quelques minutes plus tôt.

Arrivée devant le restaurant, Arès descend de la voiture et continue sa route vers la porte d'entrée du restaurant. Moi qui pensais qu'il allait m'ouvrir la portière. Trop naïve, me dis ma conscience.

J'ouvre la portière et lance un regard noir à Arès, ce à quoi il répond :

- Tu ne pensais pas que j'allais t'ouvrir la portière quand même ?

- Bah si idiot ! Répondé-je.

Il se mis à rigoler et poursuit avec un sourire :

- J'ai assez fais le gentlemen ce soir en t'invitant ici et j'ai carrément bander quand je t'es vue avec cette robe descendre les escaliers.

Mes pommettes redeviennent rouges pour la troisième fois de la soirée, ce qui fait rire de plus bel notre cher dieu grec. Il commence déjà à me saouler !

- Fais pas trop le malin dieu grec, je pourrais te briser les couilles dans ton sommeil, dis-je avec un grand sourire.

Il cache son intimité avec ses mains et fait mine d'avoir mal, ce qui me fis rire. Après ce moment assez drôle nous entrons dans le restaurant et je suis tout de suite submergée par la beauté de cet endroit, le plafond est très haut d'une couleur blanche avec des moulures doré, plusieurs lustre en cristal illumine la salle et des baies vitrées font guise de murs.

Assise à une table je contemple encore la beauté de cet endroit, je ne m'étais encore jamais rendu dans ce genre de restaurant, j'ai beaucoup d'argent mais j'ai toujours pensé que c'était inutile de claquer autant d'argent dans de la bouffe.

𝑫𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆 𝒅𝒆́𝒏𝒊Où les histoires vivent. Découvrez maintenant