Chapitre 11

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Tw: violence

Pdv : Aphrodite

Mes yeux s'ouvrent doucement, j'ai un mal de crâne pas possible, j'essaye de me lever mais quelque chose me bloque, je baisse les yeux et vois un bras, le bras d'Arès.

Qu'est-ce que je fou dans sa chambre ? Et dans son lit en plus !

J'enlève son bras de mon ventre, mais il le repose immédiatement et grogne.

- Reste encore un peu. Dit-il

Je ne l'écoute pas et part dans la salle de bain. Je me regarde dans le miroir, putain qu'est-ce que je suis horrible il m'a pas raté. Je suis toujours perdu de ce qu'il c'est passé hier, tout est arrivé trop vite, j'étais avec Ambre après je voulais rentrer mais ils étaient là, je me suis réveillé dans un sous-sol je suppose, ils m'ont frappé encore et encore et ils sont enfin arrivée. Mais en parlant d'eux, ou sont-ils ?

Je ne m'attarde pas trop dessus et prends une douche que je mérite amplement après ce que j'ai vécu hier.

Je sort de la douche et m'habille d'un simple t-shirt blanc et d'un jogging noir.

Je descends dans le salon et allume la télévision, j'hésite quelques instants pour prendre un déjeuner mais je préfère ne pas en prendre parce que je n'ai pas très faim.

- Il faut que tu manges. Me dis Arés, ce qui me fait bien flipper vu que je ne l'ai pas entendu arriver.

- Je n'ai pas très faim. Répondis-je

Il me lance un regard noir et quitte le salon.

Quelques minutes plus tard il revient avec un bol de céréales et une assiette de fruits, il me regarde et me dit d'un ton sec :

- Tu vas manger sinon je t'y oblige.

- Mais je n'ai pas faim Arès.

- J'en est rien a foutre Aphrodite, tu na rien manger depuis des heures. Et monte en haut appliquer la crème que Adriano a laissé pour t'es bleus.

- Qui est Adriano ? Demandé-je

- Mon médecin.

Je ne savais pas qu'il avait un médecin mais je pense que c'est quelque chose d'important dans une mafia. Je ne cherche pas alors à le contredire parce que je n'ai ni la force physique ni la force mentale. Je prend le bol, l'assiette, et m'assoie sur l'îlot central de la cuisine et mange ce qu'il m'a préparé.

Après avoir fini de manger, je monte appliquer cette crème qui se trouve sur la table de nuit à Arès, je l'applique ce qui me fait tirer la langue vue que les bleus me piquent, après avoir fini je retourne dans le salon ou se trouve encore Arès. Ses yeux se lèvent de son téléphone pour me regarder. Mais je ne fait pas attention à son regard et lui pose la question qui me trotte depuis ce matin :

- Où sont-ils ?

- Ton putain de frère ainsi que ton fils de pute de père ? Dans le sous-sol du QG.

Ils les ont bien eux, j'en été sûr vu les bruits que j'ai entendu quand j'étais dans son sous-sol. Et vue la rage qu'a Arès envers eux, il ne serait jamais partie sans eux.

- Je veux les voir.

- Il en est hors de question Aphrodite.

Il n'a pas à choisir pour moi je veux les voir, j'ai même envie de les torturer. Bizarre pour quelqu'un qui n'aime pas la violence je c'est, mais je veux qu'ils souffrent, mais je veux surtout que lui : Alvaro Russo souffre comme ma mère a souffert.

𝑫𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆 𝒅𝒆́𝒏𝒊Où les histoires vivent. Découvrez maintenant