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Mardi 16 juillet 20..

PV: Dylan

J'ai pas pu fermer l'œil de toute la nuit, j'étais angoissé de l'état de santé de Lyn et aussi du fait que Althéa et elle sont seule là bas.

Il est 7h10 quand je décide de me lever du lit, je prend mon téléphone pour appeler Althéa je dois avoir des nouvelles d'elles, je lance le numéro, elle répond après quelques secondes d'attente.

- Allô ? Bonjour Althéa !

- Bonjour Dylan, t'a bien dormi ?

- pas trop et vous ?

- moi j'ai pas très bien dormi mais c'est pas grave, Lyn est réveillée ...

- Dieu soit loué ! je viens dans quelques heures histoire de faire un tour à l'entreprise...

- en parlant de ça, ma secrétaire te donnera une lettre de permission, je peux pas laisser Lyn et aller au boulot mais j'ai envoyé le nécessaire ici pour bosser tout en ayant un œil sur elle!

Sa bonne humeur est au rendez-vous, c'est ça que j'aime chez elle, hier là voir totalement triste ma fait mal, je ne l'ai jamais vu comme ça, ça montre à quel point elle tient vraiment à Lyn, des amis comme elle son rare de nos jours et Lyn à la chance de l'avoir pour amie.

- t'en fait pas je vais signer la lettre, prends soin de toi et d'elle à tout à l'heure.

Je met fin à l'appel et dépose mon téléphone sur le lit, je vais prendre une douche.

Quand je suis enfin prêt je prend la voiture de Althéa pour aller à l'entreprise, ma voiture est avec ma secrétaire depuis hier.

Le trajet jusqu'à là bas était fluides, dans la voiture il y a que le parfum de Althéa, et c'est pas pour me déplaire, j'aime son parfum c'est comme si elle était là. J'arrive rapidement au travail.

À mon arrivée tout le monde me salut et je répond chaleureusement, je suis content d'être ici c'est ma deuxième maison, j'ai eu tellement de mal à me hisser jusqu'à ce niveau, j'ai eu toute sorte de pensées négative et des découragement de la part de mes proches, mon père a pris mal l'idée de me lancer dans les affaires pour lui je devais juste être son héritiers et resté au nigeria pour toujours et prendre le trône après lui, ce que j'ai pas accepté, mon père est un homme intégre et super gentil et attentionné, mais très pointilleux sur la tradition et la royauté, je me suis toujours dit que si je fait de longues études c'est pas pour finir sur une chaise à ne rien faire de toutes mes journées , je devais tracé mon chemin loin de celle de mon père, alors quand j'ai eu mon diplôme universitaire je me suis éloigné du nigeria🇳🇬, je suis venu en Côte d'Ivoire 🇨🇮, ça n'a pas été facile de trouver un bon repère, mais étant un homme je devais tenir, je recevais des nouvelles de mon père grâce à ma cousine qui m'informait de tout, j'ai appris que mon départ avait fait vraiment de la peine à mon père, et que les anciens lui mettait la pression pour me retrouvé ou trouver un autre heritier, et qu'on disait que j'ai les gêne de ma mère, celui de fuir des situations au lieu de les affronter, ça me fait ni chaud ni froid que ces vieillards parle ainsi de ma génitrice, elle est morte qu'on la laisse reposer en paix, c'est trop leurs demander ?

J'arrive dans mon bureau, je m'installe et remarque le rapport que Lyn m'a envoyé hier.

AYLIN CARTER, j'arrive pas à l'encadrer, si imprévisible et tellement insolente, une déclencheuse d'AVC, je l'aurais renvoyé sûrement si elle faisait pas correctement son travail en même temps elle fait tout pour pas croiser mon chemin, je n'ai rien contre elle mais elle par contre elle veut ma peau mais avec tout ce qu'elle m'a dit hier j'espère qu'elle va plus trop vouloir me faire la peau, elle est marrante sans le vouloir, j'avoue que son comportement me fait souvent rire, pendant les réunions à chaque fois que je prends la parole elle affiche une mine ennuyée, une vraie gamine, qui ne supporte pas l'autorité.
Quand j'y pense sa situation me rend triste, cependant je compte pas la laisser seule, je ressens le besoin de lui venir en aide même si je sais qu'elle me fera croire le contraire, c'est une personne très fière.

THE CAPRICE OF LIFE. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant