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Dimanche 14 juillet 20...

PV AYLYN

Lorsque je me suis réveillée , j'ai trouvée Althéa dans la cuisine et vu sa tête elle venait aussi de se réveiller, elle est assise en pyjama sur une chaise une tasse de café en main.

- bien dormi ?

- comme un bébé ! Et toi ?

pareil, mais avec un rêve étrange à l'appui.

Je l'encourage du regard à continuer,

- j'étais dans un endroit étrange rempli de tristesse, j'étais vraiment triste et je me  suis réveillée avec les larmes sur le visage, j'arrive pas à me souvenir du rêve entièrement.

Elle semble toute triste en plus, je sais pas trop comment réagir alors je lui dis la première chose qui me vient à l'esprit.

c'est sûrement un des épisodes de la série que t'a vue hier qui t'a rendu triste, t'inquiète pas.

Je la prends dans mes bras pour la rassurer, elle me sourit, sa bonne humeur revient très vite au galop, j'aime ça,

- alors on fait quoi aujourd'hui ?

Elle réfléchi un instant avant de répondre

- vu que demain on travaille, je propose qu'on se repose, qu'on passe la journée ici à regarder la télé et manger, ensuite je rentre chez moi dans la soirée, ça te va ?

Je souris satisfaite du planning.

j'aurais pas imaginer mieux.

Un silence s'installe, mais il est juste apaisant, je sirote mon thé tout en regardant sur mon téléphone, pour vérifier les différents messages reçu, un de ma mère, un de ma banque , j'ouvre celui de ma mère, elle me disait qu'une de ses vaches avait mise bas, et qu'elle se porte très bien. C'est déjà ça, j'ai prévue de lui envoyer de l'argent demain.

19h29.

J'accompagne Althéa au parking, elle rentre chez elle. Avant de monter dans sa voiture elle me prend dans ses bras, et me sert très fort, avant de me regarder les yeux larmoyer, sur le point pleurer.

tu va trop me manquer !!

Je souris face à sa scène, elle me fait le coup à chaque fois qu'elle dort chez moi et qu'elle est sur le point de partir.

- t'en fais trop Là, t'habite  à 30 minutes d'ici, et on se verra au travail demain, je vois pas pourquoi tu pleure.

- t'es trop insensible. À plus.

Elle monte l'air faussement énervé, je passe ma tête par la vitre pour lui dire de faire attention sur la route et de me faire signe quand elle arrive.
Une fois qu'elle est hors de mon champ de vision je remonte, j'étais épuisée, malgré le fait que je n'ai rien fait de spécial aujourd'hui, j'ai l'impression de tirer un poids à chaque pas que je fais, je ferai mieux de me reposer, parce que demain je compte pas allé au travail avec cette fatigue, quand je réussis enfin à arriver dans mon appartement, je vois un message d'un numéro inconnu,

THE CAPRICE OF LIFE. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant