PV : DYLANQuand j'ai vu la personne en face de moi, j'ai failli tomber, c'est pas possible, comment c'est possible, mon cerveau me disait que c'est impossible pourtant mon cœur disais le contraire, je sens des larmes monté et mon cœur se serré douloureusement, la femme en face de moi était dans le même état que moi, dans ses yeux je voyais plusieurs émotions, de l'incompréhension, la surprise et plusieurs autres choses, j'ai voulu parler à nouveau mais ma voix refusait de sortir, alors je me rapproche doucement d'elle de peur qu'elle disparaisse, peut être que c'est juste un mirage, mais plus j'avance plus mon cœur bat plus fort et je m'arrête soudainement frapper par une évidence : et si elle ne me reconnaissait pas ?
je m'arrête à quelque centimètres d'elle, je n'ai plus rien du petit garçon d'avant, j'ai grandi, ma voix aussi avait changé, ma taille, mon corps, tout avait changé.
Peut-être que c'est pas elle que c'est une ressemblance, mais tout dans son regard me hurle le contraire, et ça me ferait vraiment mal si elle ne me reconnaissait pas et surtout si c'était pas elle ma mère, celle qu'on m'avait annoncé le décès quand j'étais un gamin de onze ans, c'était évident pour moi ma mère est morte, alors dans un élan de peur je sors de là, et bouscule Althéa sans faire exprès, je quitte les lieux au pas de cours, j'arrive au parking rapidement, j'allais monter quand j'entends la voix de Althéa me crier de m'arrêter, je sais que le comportement que je viens d'avoir n'est pas digne d'un homme, mais il fallait que je m'éloigne de là, et là je ressens une sensation que j'avais pas ressenti depuis des années, une profonde douleur au cœur, comme si les plaies que j'ai pris le temps de soigner ceux sont ouvertes et ça fait super mal.
Elle arrive à mon niveau, totalement dans l'incompréhension, ses yeux m'interroge mais je fuis son regard pour la première fois, moi qui aime tant me plonger ses dans yeux.
- Dylan que ce passe t-il ?
J'ouvre la bouche mais aucun mot ne sort, elle s'approche plus près pour me prendre la main.
- j'ai vu ton trouble face à la maman de Lyn, tu l'a connais ?
La maman de AyLyn.
je retire ma main de la tienne pour ouvrir ma portière, je fouille dans ma boîte à gants et en sort un petit portefeuille, je l'ouvre et sort une photo et je la lui donne, lorsqu'elle vois la photo elle et écarquille les yeux.
- C'est ma mère, elle est morte quand j'avais onze, et tu comprend pourquoi je suis sorti précipitamment ? C'est douloureux de se retrouver face au sosie de sa mère décédée... En l'espace d'une seconde j'ai pensé que c'était elle, mais je me suis rendu compte de la stupidité de mes pensées... Les morts ne reviennent pas à la vie.
J'ai senti des larmes coulées, c'était la première fois depuis des années que je pleure et la première fois depuis des années que je pleure devant une femme autre que ma cousine.
Elle se met sur la pointe des pieds pour me prendre dans ses bras, je me laisse allé dans son etrainte et son parfum qui me réconforte.
- t'a raison qu'elle se ressemble terriblement, je sais pas quoi dire pour te réconforter...
Elle n'a pas besoin de parler, sa présence suffit juste à me réconforter.
Quand on se sépare elle me prend la main pour me demander de revenir.
- attend, je vais prendre le cadeau que j'ai acheté pour Lyn, et la nourriture que j'ai acheté, j'imagine que vous n'avez rien mangé de toute la journée...
- ça va aller ?
- t'en fais pas, ça va aller...
Je lui ment ça c'est clair, ça va pas aller du tout, mais j'ai promis d'être là jusqu'à la fin.
J'allais fermé la portière quand j'entends, cette chanson, une chanson que je connais par cœur, une voix que jamais je n'ai réussi à oublier, mon cœur c'est mis à battre terriblement fort.
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THE CAPRICE OF LIFE.
General Fiction" n'abandonne pas, continue, je suis et je serais toujours là pour toi". Je vous invite à lire cette histoire tout en espérant qu'elle vous plaira 🥰🥰