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PV: ESMERALDA CARTER.





              [Flash back.]






J'étais allongée dans le lit, absorber dans lecture du livre UNE SI LONGUE LETTRE  de MARIAMA BÂ. Une œuvre tellement réaliste, j'étais tellement concentrée que j'ai pas entendu EMÉKA entré dans notre chambre, je remarque sa présence quand il prononce mon prénom .

- hey Esmé, tu dors pas encore ?

- je t'attendais...

Il me fait une bise sur le front avant de retiré sa tenue royale, et d'émettre un long soupire.

- alors c'était comment la réunion avec le conseille ?

- à mourir d'ennui, et surper énervante aussi, ils arrêtaient pas de pondre des bêtises, à croire que la vieillesse ça rend débile.

J'éclate de rire, c'est toujours comme ça à chaque fois qu'il est avec les conseillés, ils arrivent pas digérés notre union, alors ils ne manquent pas une occasion pour lui faire comprendre leurs mécontentement, je descends du lit pour l'aider à se changer, sinon il risque de tout mettre en bazar, et essayer de lui faire oublier l'instant passé avec ses conseillés.

- tu sais que je t'aime et ce qu'ils disent n'a aucune sorte d'importance à mes yeux parce que du moment où j'ai de l'importance à tes yeux c'est tout ce qui compte.

- tu seras à jamais la personne la plus importante à mes yeux toi et notre fils et nos futurs enfants aussi...

Il me fait un long câlin.

- au fait dans deux jours je vais avec DYLAN en Angleterre, la société a eu un problème et cela nécessite ma présence et j'aimerais passer plus de temps avec lui étant donner que j'ai pas de moment avec lui, et je veux pas qu'il pense que j'ai pas son temps.

- je te comprends, très bien, il sera très content demain quand je lui dirai...

- je t'aime tellement ESMERALDA DAVIS, t'es la meilleure personne qui soit rentrée dans ma vie.

- je t'aime aussi ÉMÉKA DAVIS, et c'est un honneur de porter ton nom de famille...

Je met soudainement à rire aux éclat, et il me regarde avec un regard interrogateur.

- je peu savoir pourquoi tu ris subitement ?

- pour rien, je pense à notre première rencontres, comment t'étais maigre.

- oui mais j'ai réussi à te charmée chérie, la fille la plus belle et difficile de l'université, j'étais aux anges quand tu as accepté de sortir avec moi pour la première fois...

- et depuis on s'est plus quitté jusqu'à aujourd'hui, c'est incroyable, on a surmonter tellement de choses ensemble,

- parce que c'était toi ma reine depuis le début ESMERALDA.

Après sa dernière phrase il prend un air idiot ce qui veut dire qu'il s'apprête à me sortir une bêtise.

- et puis d'où tes parents ont sortie ce prénom, depuis quand les ivoiriens ont des prénoms espagnol ?

Qu'est ce que je disais... Jamais sérieux...

- tu tiens à le savoir ? et puis après des années c'est maintenant tu me demande ?

- c'est maintenant que j'y pense...

- t'es un mari indigne mr Emma...

- hein comment tu m'a appelé et combien de fois je t'ai dit de ne plus m'appeler comme ça...

Et c'est parti pour des heures de chamaillerie. C'est l'apparition de DYLAN dans notre chambre qui nous a calmer, il vient squatter notre chambre souvent, on ne tarde pas à se mettre au lit pour dormir Dylan sur ma poitrine et son père qui boude de l'autre côté du lit, il va s'en remettre.

                    

                    [ 🐞🐞🐞]

Deux jours plus tard.

Dans la grande pièce, les servantes allaient et venaient avec des plateaux de nourriture, que j'avais soigneusement préparer pour ma petite famille, et les gens de la maison, j'aime cuisiner et mon mari adore ça, Dylan est dans sa chambre certainement pour faire descendre sa valise ou je sais pas trop, je me sens un peu anxieuse depuis que je me suis levée à 3h ce matin et j'ai plus fermée l'œil après ma prière, EMEKA descend dans une tenue élégante qui n'a rien à voir avec celles qui porte habituellement, je le regarde descendre chaque marche, avec grâce et élégance, la beauté de ce monsieur me coupe chaque fois le souffle quand je pose les yeux sur lui, j'arrive pas à croire que c'est moi qui partage sa vie aujourd'hui, il m'enlace avant de m'embrasser, et là j'ai comme des papillon  dans le ventre, j'en perd complètement la raison.

- tu sens tellement bon esmé, tu es très belle ce matin comme toujours d'ailleurs ...

Je me met à bafouée comme une adolescente, c'est incroyable l'effet qu'il a sur moi malgré toutes c'est années de vie commune.

toi aussi mon amour t'es tellement élégant dans cette tenue, tu va faire tourner des têtes c'est sûr ahahah.

- pas besoin si la tienne tourne en ma présence c'est l'essentiel bébé...

Il me souris avec son sourire charmeur, avant de me lâcher pour s'installer à table, Dylan nous rejoint quelque minutes après, mon fils ressemble tellement à son père, les même manières de se tenir. Je suis fière de ma famille, nous sommes plus que trois dans cette pièce, et nous profitons du moment familiale, des blagues de Dylan.

- papa je me suis rendu dans les champs hier pour le travail que tu m'as confié, et je l'ai fait, j'avoue que c'était pas facile mais j'ai aimé, t'aurais dû voir la tête des autres employés, ils voulaient tous faire le travail pour moi, parce qu'ils disaient que je suis un prince, mais j'ai pas accepter je l'ai fait moi même.

Son père lui sourit fièrement.

- je suis fière de toi, ne laisse personne faire quelque chose que tu peux faire sous prétexte que tu es un prince, tu es un homme avant d'être un prince, et tu dois travailler si demain tu veux réussir, et tu dois pas faire profil de ton statut social, parce que nous sommes tous égaux... Ne l'oublie pas.

- oui papa...

On fini de manger et on part dehors, toute leurs affaires ont été envoyé dehors, la voiture est prête pour partir, je prends mon fils dans mes bras et lui fait un énormes bisous sur la joue, mon mari je l'embrasse et lui souhaite un bon voyage, mon cœur se sert quand la voiture sort de mon champ de vision, tout ira bien dis je pour me rassurer.

Je monte dans ma chambre pour me changer et aller à l'orphelinat pour donner un coup de main, j'y vais de temps en temps, ça va m'aider à ne pas trop sentir l'absence de mes hommes au palais, une fois prête je descend, je trouve mon garde du corps devant ma voiture, le seul homme en qui mon mari a confiance dans ce palais, je le salue et lui dit où nous partons, le trajet est un peu long, je sors de mes pensées quand je reçois un appel...




____________________________________________________ À SUIVRE....

JOYEUX NOËL À TOUS ET À TOUTES 🎉🎉🎉🎉🎉🎉🎉🎉🎉❤️❤️

J'ESPÈRE QUE VOUS ALLEZ BIEN MOI JE VAIS BIEN , COMMENT VOUS TROUVEZ LE CHAPITRES N'HÉSITEZ PAS À ME LE DIRE EN COMMENTAIRE

NB: CETTE HISTOIRE EST PUREMENT FICTIF AUTREMENT DIT LE FRUIT DE MON IMAGINATION DÉBORDANTE,

À LA PROCHAINE POUR UN AUTRE CHAPITRE PORTEZ VOUS BIEN...

THE CAPRICE OF LIFE. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant