Chapitre 5

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Hello ! Chapitre réécris ! Bonne lecture !

Je te déteste cœur de merde.

E:- Ouais ! Trop bien ! Merci Izu !

On rougit tout les deux, et il détourne la tête.

E:- Alors tu... Hum, tu aimes les mangas ?

Il change de sujet et c'est loin de me déplaire, alors je m'empresse de lui répondre.

I:- Oh, oui, j'aime bien, même si ma mère est persuadé que je ne trouverai jamais de copine comme ça. Comment lui dire que je ne veux pas de copine ?

Je rougis à nouveau, mais putain Izuku tais toi bordel... Heureusement, Eijiro ne relève pas.

E:- Moi aussi j'adore ça ! Tu n'as que ceux là ? J'en ai quelques uns moi aussi !

I:- Ah non pas du tout, j'en ai bien plus, mais ils sont dans ma chambre, tu veux voir ?

Ses yeux s'illuminent, comme un gamin devant un sapin plein de cadeaux. Il est adorable, ça ne vas pas du tout.

E:- Tu veux bien ?!

Je hoche la tête avec un petit sourire et monte les escaliers qui montent à ma chambre. Une fois devant, j'hésite. Ma chambre ressemble vraiment à une chambre d'enfant, et il y a mon drapeau au dessus de mon lit... Je soupire un grand coup alors qu'il arrive derrière moi. Il ne va pas me juger. Il ne va pas me juger. Il ne va pas me juger. Mais si il me juge ? Arrête de raconter de la merde Izuku, c'est Eijiro, tu lui as même fait écouter ta musique, allez ouvre cette porte. J'abaisse la poignée et entre le premier, suivit par mon invité.

J'époussette nerveusement mon étagère, puis tourne la tête vers lui. Oui, définitivement, je ne sais pas pourquoi j'ai cru qu'il allait me juger. Ses prunelles brillent encore plus qu'avant alors qu'il les balade sur mon énorme bibliothèque, pleine du sol au plafond de livre en tout genre, sur mon placard dont les portes sont recouvertes par des photos de mes amis, et sur le mur contre lequel se trouve mon lit king size, mon tourne disque et beaucoup, beaucoup de poster.

Je me précipite ouvrir les volets de la fenêtre qui se trouve près de mon lit, complètement stressé de le voir dans ma chambre.

E:- Ouah c'est... Magnifique ! J'adore ! Tout est magnifique ! Et ce mur blanc là, tu vas en faire quoi ?

Il désigne le mur juste derrière lui, autour de la porte.

I:- Je sais pas, je veux un truc spécial, et je crois que j'attend de savoir qui sera mon ou ma partenaire de vie.

E:- Oui, je comprend. D'ailleurs, j'ai vu ton drapeau, tu es pansexuel c'est ça ?

J'hoche la tête en rougissant légèrement, je ne l'ai jamais ouvertement dit, mes amis sont au courant, mais je n'ai jamais vraiment fait de coming out.

E:- Tu dois faire un métier super bien payer pour avoir une aussi grande maison !

I:- Pas du tout, en fait je suis sage-femme, c'est très mal payer pour ce que c'est.

E:- Sage-femme ?! Mais c'est trop bien ! Mais du coup il vient d'où tout cet argent ?

I:- Mon géniteur. Je sais pas grand chose de lui à part qu'il a brisé ma mère. C'est on connard qui n'a pas assumé d'avoir mis sa maîtresse enceinte et qui l'a laissé en lui versant une pension. Elle ne savait même pas qu'elle était sa maîtresse. Tout les mois, je reçois dix mille euro et le double pour noël et une autre fois dans l'année, sûrement pour mon anniversaire. Je n'ai absolument pas besoin de cet argent alors je fais dont de la moitié à des associations. Je garde le reste de côté, et je vis avec mon salaire.

Mais... vous vous connaissez ? (bxbxb) (Kiribakudeku) (AU) (En pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant