▫️- Sergio Ramos x Mesut Özil

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(Ouais je sais ship bizarre mais les photos m'ont inspiré, et l'histoire de Mesut aussi, il me tient à cœur cet OS parce que Özil est un joueur que j'admire)

(Ouais je sais ship bizarre mais les photos m'ont inspiré, et l'histoire de Mesut aussi, il me tient à cœur cet OS parce que Özil est un joueur que j'admire)

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Déçu.

Saison 2012-2013

Mi-temps du match contre le Deportivo. Mesut n'a pas fait une bonne première partie et il le sait. Il rentre la tête basse au vestiaire. Ça lui travaille l'esprit. Il a pourtant fait de bonnes passes. Il ne comprend pas. Il sent une présence au dessus de lui. Il lève les yeux, José Mourinho, son coach, le fixe avec grande colère.

Et sans qu'il s'y attende, une vague de colère s'abat sur le germano-turc. Des mots tranchants, blessants fusent de toute part et uniquement pour lui. Il lui fait bien comprendre qu'il ne jouera pas en deuxième période.

-Tu es une pleureuse ! Va à la douche, on n'a pas besoin de toi.

Mot pour mot. Mesut reste sans voix. Il rebaisse la tête. C'est ce moment que Sergio choisi pour s'énerver. Il se lève de sa place et se rapproche de l'entraîneur.

-Pourquoi tu lui parles comme ça ?

-Laisse Sergio, c'est bon.

-Non, je veux comprendre.

-Ce que tu vas comprendre, c'est que si tu me fais chier tu resteras ici avec lui. Lança Mourinho.

-Non, parce que tu as trop besoin de moi.

-Sergio !

-Le numéro 10 jouera.

-Il ne jouera pas.

-Mesut, file moi ton maillot.

L'andalou tendit une main devant son coéquipier. Özil la regarda fixement puis leva les yeux vers Sergio. Il était très sérieux. Alors, doucement, Mesut enleva son maillot. L'espagnol fit de même. Mourinho les fixa, sourcils froncés. Leurs coéquipiers ne bougeaient pas et les fixaient également avec des yeux ronds.

Puis Ramos attrapa le maillot du milieu de terrain et l'enfila. Puis il remit son propre maillot par dessus. Grâce au tissu blanc et au flocage noir, le numéro 10 était apparent à travers le t-shirt. Sergio lança un regard noir à leur coach qui le lui rendit comme il le fallait avant de se détourner.

Puis Sergio s'accroupît devant son ami.

-Ne l'écoute pas. Moi, je te défendrais toujours.

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