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8 h

Je joue nerveusement avec le téléphone qui est dans mes mains. C'est un smartphone denier cri. Il est beau. Il a une reconnaissance faciale et est rouge.
J'ai aussi eu droit à des écouteurs sans fils avec.

Je suis nerveuse, parce que je suis actuellement dans un avion en destination de Pékin.

Par avion, je veux dire le fabuleux Jet Privée de Cameron.

Je savais qu'ils étaient riche dans sa famille, comme tout mafieux qui se respecte, mais je demande jusqu'où va sa fortune.

J'avais énormément de question à lui poser. Sur ce voyage, sur lui, mais aussi sur le téléphone.

Moria : Cameron ?

Cameron : Oui Moria ?

Moria : Comment ça va se passer exactement en Chine ?

Cameron :On va déposer nos affaires dans ma résidence. Celle que j'ai acheté quand je suis venu pour mon apprentissage. Tu vas te reposer toute la nuit, et ensuite on se mettra en route, le lendemain très tôt. Ne t'inquiète pas pour la barrière de la langue. La plupart des personnes ici parlent notre langue.

Je hoche la tête

Moria : L'entraînement sera difficile ?

Cameron : Éprouvant plutôt.

Moria : Pourquoi on n'a pas continué le travail chez toi ?

Cameron : En toute franchise, on n'aurait pu, mais tu n'aurais jamais progresser. J'aurai eu des obligations en journée, tu te serais retrouvée toute seule. Et puis rester dans le pays ne t'aurai pas aidé.

Moria : Est ce que je peux te faire confiance Cameron ?

Cameron : Pourquoi pas ? Mais je te dirai plutôt de ne pas me faire confiance. Moins tu me feras confiance, moins la chute sera douloureuse. Avec moi, mais avec tout le monde également.

Moria : Pourquoi c'est chez toi que Darren m'a emmenée ?

Cameron : Parce qu'il sait, que je serai le seul à te défendre et te protéger. Peu importe à quel point Donovan et sa bande ne m'aiment pas, ils savent que je suis très bien entraîner. Tu es sous ma protection, mais également sous celle de la mafia Irlandaise.

Moria : Qui m'a offert ce téléphone ?

Il lance un coup d'œil rapide sur l'objet que j'ai dans ma main puis fixe de nouveau son regard sur moi, un sourire en coin.

Cameron : J'en sais rien, mais il y avait un mot avec la boîte.

Il me tend, le petit bout de feuille.

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La Mara SalvatruchaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant