Je parle très souvent d'amour. Parfois trop. Je crois trop aux contes de fées, et cela m'a valu quelques baffes venant de la Réalité. A ce propos, elle m'a donné un cadeau empoisonné qui tous les jours tente de me pourrir la vie. J'en ai connu des c...
Il a fallu tant de choses pour te rayer de ma vie Des musiques pleines d'amour et d'espoir qui ont sombré dans l'oubli Une boîte en cœur dans laquelle dort ton souvenir Des liens détachés pour toujours Que j'ai cessé d'espérer renouer Alors pourquoi mes larmes continuent de couler ?
La bombe a bien explosé, Faisant s'effondrer la falaise, Qui m'est tombée sur le nez, La douleur était violente mais n'a pas duré, D'où vient celle que je ressens désormais ?
Je t'ai vu une ultime fois, comme un souvenir refoulé Revenus d'entre mes mémoires enfouies J'ai fait semblant de rien, comme si tu n'avais jamais existé, Je t'ai rejeté, et tu n'es tu n'es plus jamais revenu, Seules des bribes de toi remontent et disparaissent instantanément, Comme une hallucination éphémère.
Et en cette fin d'été, Où j'ai perdu ma maison de toujours, Et se construit celle de mon avenir, Rupture semblable à une fin d'année, Pourquoi je pleure encore en me rappelant ton visage ?
Aurais-je sous-estimé ton importance pour moi, Toi qui était censé ne pas en avoir ?
Je t'ai placé trop proche de mon cœur par rapport à celle que tu aurais du avoir, Sur le même plan d'égalité que l'homme de vie, Et mes sentiments ont failli tout anéantir Et pourtant je pleure encore Sur les quais de la gare de Massy.
Tu es arrivé tel une tornade soudaine et violente, Pour finalement repartir comme tu es venu, Comme si de rien était Mais en moi quelque chose est toujours brisé.
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Tu es venu et as laissé ta marque Sur mon cœur que tu as vandalisé.
