Dreams are my reality.

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« Freyja, tu viens à la soirée d'intégration ce soir ? —Me demanda Elektre en cherchant un robe dans son armoire, que des jolies robes qui pendait sur les cintres
—Oui, quelqu'un dans ma classe m'a proposé de venir, ça serait cool pour rencontrer de nouvelle personne. —Dis-je en croquant mon cookie sur le lit d'Elektre, en feuilletant un magazine de mode. Elle soupira et me regarda.
—Est-ce que tu peux juste arrêter de manger sur mon lit ? Tu veux que je dorme avec des rats ?
—Ouaip. »
Dis-je en toute ironie alors qu'elle me lança un poster dans la face. J'ai riposté en envoyant son oreiller. On ricane toutes les deux avant de reprendre notre sérieux. Elle prenait toutes les robes de son armoire en regardant dans le miroir laquelle irait le mieux ce soir. Alors qu'elle sait pertinemment que toutes ses robes lui vont à merveille.
En tournant la page, j'ai pu apercevoir une mannequin très jolie, ou peut-être bien une chanteuse. Elle portait une tenue que je n'avais jamais vu. Un pantalon sous une robe.
« Hé Elektre, vu qu'on aime être hors du commun toi et moi, vient on essaie ça. —Dis-je en lui montrant l'image sur le magazine, elle s'était penchée pour la regarder et fit la bouche en forme de « O » en me regardant avec un grand sourire.
—Mais de malade ! C'est totalement pour nous ça ! »
On à cherchait comme deux idiotes dans son armoire, je ne suis pas très robe, alors Elektre m'en prête pour les soirées comme celle-ci.
Elektre à fini par prendre une robe noir sans bretelle et un jean blanc qui tombait parfaitement sur ses pieds. Quant à moi, J'ai pris une chemise noir recentrer sur la taille grâce à des fils directement mit en place sur le tissu, les manches m'arrivait vers l'avant bras, pour garder un effet « robe » j'ai décidé d'enfiler pantalon gris large sous une jupe de la même couleur. Elektre à enfilait des mocassins, alors que j'avais mis des chaussures à talon épais. On aime l'extravagance, on s'habillait comme on l'a toujours fait.
Elektre avait respecté notre idée au bout de la lettre, mais j'aimais ajoutais des petites choses à mes tenues.

J'ai enfilait la tonne colliers, de bagues et de bracelets. Quant à Elektre, elle avait gardé le collier qu'elle porte tous les jours. Elle m'avait dit que ce collier appartenait à sa mère quand elle était sur le bateau de sa naissance.
Elle le portait absolument tous les jours, elle ne le lâchait pas. À chaque fois que nous nous rendons à un endroit, elle le prend dans sa main droite alors qu'il est encore attaché à son cou, elle fermait les yeux et commençait à parler en grec. Elle disait « Mamá, se parakaló na me prosécheis, me ton Lórdo Poseidóna. » qui voulait dire « Maman, veuillez garder un oeil sur moi, avec seigneur Poseidon. » C'était le plus beau geste que j'avais vu de ma vie.

Elle s'était fait un chignon, laissant apparaître une partie de son tatouage dans le dos. Ainsi que celui sur sa clavicule, a vrai dire, celui-ci était un en commun avec moi, je l'avais au même endroit, et c'était les paroles d'une musique. La phrase est « Diamonds are a girl's best friend » venant du film « Gentleman Prefer Blond » une musique chantait par Marilyn Monroe, une icône que nous admirons toutes les deux. La calligraphie de ce tatouage était seulement notre écriture. J'avais écris pour Elektre, et elle l'avait écrite pour moi. C'était une façon d'avoir un quelque chose en commun sur notre peau, plutôt que nos prénoms. On trouvait ça ridicule.

On quitta l'appartement en s'assurant d'avoir chacune nos clés, on savait qu'on allait sûrement ce perdre de vue, alors on a préféré de ne pas prendre de risque.

••

La musique raisonnait fortement dans la rue, on ne pouvait pas ne pas trouvait là où se déroulait la fête. Ce sont les derniers années qui ont réservé une très grande salle. D'après certains anciens, c'est la première fois qu'ils réservaient quelque chose d'aussi grand, car avant, c'était le fils du directeur qui s'amusait à volait les clés de l'établissement pour faire la soirée d'intégration directement dans l'enceinte de l'école afin de rester dans le thème. Mais vu que celui-ci à quitter l'établissement en Juillet dernier, c'était compliqué de pouvoir l'organiser dans l'école.
En arrivant devant la salle de fête, on montra nos cartes étudiantes au vigile afin qu'on puisse y rentrer. La musique nous rendit sourde immédiatement, le Linkin Park qui bombardait la salle faisait danser toute la salle.
C'était amusant, ça me rappeler ma toute première fête d'intégration au lycée, le jour et Elektre et moi, nous nous sommes rapprochés à cause de cet événement. Chaque jour, quand je repense à cette scène, je me demandais à quoi ma vie pouvait ressembler si je n'avais pas intervenu ce soir là. Mais j'étais plutôt fière d'avoir pris mon taser ce soir-là.

Crépuscule ou l'humeur du soir [B.Kaulitz]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant