You are pretty when you cry.

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|| PDV TOM ||

Le long de ce couloir où je courais au côté de Georg et Elektre, on pouvait entendre au loin les cris de panique de Bill.

« Freyja je t'en supplie ouvre les yeux ! »

Au pied de la porte après avoir enjamber plusieurs cadavres du gang Milanais, on pouvait apercevoir celui-ci bouger le corps de Freyja dans tous les sens, son teint était visiblement beaucoup plus pâle qu'il y a quelques minutes. Georg n'a pas cherché à comprendre et a couru avec la mallette de secours qu'il avait volé au gang.
Georg a posé ses doigts contre le cou de Freyja ainsi que sous son nez pour capter un signe de respiration.

« Tout va bien, elle respire. »
Nous les avons rejoins où Gustav à pu refaire son apparition, complètement confus de la situation.
Georg a enfilé ses gants stériliser et à commencer à opérer Freyja directement sur ce matelas. Freyja ne pouvait plus agir avec son corps, mais seulement sa conscience.
Tout était très minutieux que Bill en avait oublié l'existence de sa blessure au bras. Il observé Freyja avec beaucoup de peur.
Peur de la perdre a nouveau.
Mais cette fois-ci, pour toujours.

Son regard a ensuite détourné vers le sol, avant de se relever en furie, prendre la chaise en bois avant de le fracasser sur la tête de Frank, chef de cet ancien gang.

« Que les dieux punissent ton âme ! » Cria-t-il alors que le pied en bois de la chaise se brisa, je me suis tout de suite relevé en l'attrapant par les épaules, l'éloignant le plus possible du corps de Frank qui était devenu méconnaissable et de quelconque arme.
« Bill ça suffit ! Il a eu sa leçon ! »
Gustav est intervenu lui aussi pour m'aider a maintenir le corps de Bill qui était dans un état complètement second. Il était rempli de rage et de peur.

J'ai tourné la tête furtivement pour voir les gestes de Georg, celui-ci commençait déjà à mettre le pansement autours du point de suture de Freyja. Il nous a parlé en restant concentré sur ses gestes.
« La balle n'est pas allé jusqu'a son organe, elle s'était bloquer dans le derme. Elle a perdue connaissance à cause du flot sanguin qu'elle a perdu assez rapidement. Tout s'est produit par l'afflux des événements. Freyja va bien. Freyja est vivante, Bill. »
Je me suis retourné pour sourire à mon frère, celui-ci à dégager un long soupire avant de laisser tout son poids redescendre.
Depuis son diagnostic de sa schizophrénie. Ses émotions sont soit multipliés, soit il ne sait pas comme le gérer.
Ici, il montre une émotion de soulagement en entraînant son corps vers le sol froid, une manière de calmer ses esprits lorsqu'il est toujours lui-même.
J'ai appris à gérer ces crises comme celle-ci lorsque son traitement n'était pas encore fiable.
Je n'avais que treize ans, et j'agissais déjà comme un parent pour lui.

Il a relevé le visage pour regarder celui de Freyja, qui reprenait peu à peu de la couleur. Même si elle est déjà pâle de nature, son teint n'était plus si blanc qu'il n'y a quelques minutes. Georg s'est retourné vers Bill, relevant la manche de celui-ci pour lui retirer sa balle. Il l'avait complètement oublié. Et n'a pas réagi lors du procédé.
Ses yeux étaient rivés sur Freyja, alors que celle-ci ce faisait recouvrir d'un drap propre autours de la taille par Elektre. Qui faisait ça avec douceur.
Le cou de Freyja laissé encore apercevoir les traces de mains de Ricardo, mais cette trace ne va pas disparaître avant un moment. J'ai regardé Bill en posant ma main sur son épaule, lui souriant.

« Bill, le désastre est fini, on va pouvoir rentrer, et avec les filles.
—Je veux que Freyja soit avec moi au retour.
—Elle sera avec toi, ne t'inquiète pas. »

J'ai tourné la tête en apercevant cette fois-ci Gustav revenir vers nous, dépité.

« Bon les gars, on n'a pas le choix, on devra faire les 8h de voiture pour rentrer à Naples.
—Et pourquoi ça?
—Notre Jet à été détruit par les Milanais, on va devoir commencer à fuir avant qu'un autre massacre se produisent.
—Et pourquoi ne pas juste voler le jet des Milanais ?
—Il était en travaux avant qu'on arrive, c'est dangereux de le prendre alors qu'il n'est pas fiable a cent pour cent.
—Tu n'as pas tord, Tom, prends le corps de Freyja pour le mettre dans la voiture de Bill. Elle se réveillera pendant le trajet normalement. »

Crépuscule ou l'humeur du soir [B.Kaulitz]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant