Feel It All.

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« Nous avons appris très tôt ce matin la disparition d'une jeune fille. Celle-ci s'appelle Freyja Ivar et a disparu le 5 Octobre 2009 dans les alentours de 16h30. Des avis de recherche sont placés partout dans Naples. Si vous l'a voyait, merci de contacter le numéro de la police munici-»

J'ai entendu un grognement de rage, des feuilles se froisser, mon regard s'est détourné sur Bill qui avait les yeux remplis de rage. Le papier du journal qu'il tenait entre ses mains s'est chiffonné et écrasé par son pied. Sa main à saisit la radio qui à rebondit sur le sol, laissant des morceaux de celle-ci explosée, le son grisaillé mes tympans. Les paroles du journaliste sont devenu incompréhensible.

« Putain ! » Bill à hurler, alors que j'étais assise en face de la table à manger, Georg m'avait tendu mon petit déjeuner qui était composé de céréales.
Des céréales sèches.
« Putain ! Pourquoi ta pote elle existe, elle me gâche toutes ses années de merdié !
—Bill, elle est porté disparu, et de plus, il y a eu un témoin, tu t'es foutu dans la merde tout seul. Je t'ai prévenu. On t'aidera pas. »
Le regard de Bill est devenu noir alors qu'il regardait son coéquipier. J'ai pris une bouchée de mes céréales mais Bill a enfoncer son index et son majeur dans ma gorge, m'obligeant à recracher ce que je venais d'engloutir.

« Bill !  —A crier Georg, mais Bill à saisit mon visage entre ses doigts en me forçant à le regarder.
—Si tu avais cédez à mes paroles, je n'en serais pas là.
—Peu importe tes efforts, elle m'aurait retrouvé. »
Il m'a regardé pendant de longues secondes. Jusqu'à que sa seconde main finissent sur ma joue. Le coup était si brute et violent que j'en suis tombée de ma chaise. Ayant fait tomber le bol de céréales dans ma chute.
« Espèce de petite garce. La Freyja que je connais depuis si longtemps n'aurait jamais fait ça. —Je l'ai regardé dans les yeux, les larmes aux bords de ceux-ci.
—J'ai grandis Bill putain, je n'ai plus dix ans !
—Je m'en fiche, dans ma tête tu étais la même. Mais je me suis trompé.
—Oui, alors je t'en supplie... laisse-moi partir...
—Non. »
Ses paroles étaient sèches, mais il était hors de question que je cède à ses avances, à ses paroles.

Bill a beaucoup changer depuis notre séparation. Que ça soit physiquement que mentalement.
Il me faisait peur, mais je ne voulais pas m'abaisser et de lui laisser toute domination de mon égo, de ma vie. Maman m'a toujours appris à être forte. Même si Bill à été quelqu'un d'important dans ma vie.
Il ne l'ai plus aujourd'hui. Il n'est qu'un sale malade qu'il s'amuse de la douleur des autres.

Il s'est éloigné alors que Georg m'aider à me relever, il était le seul à être compatif. Mais il savait tous, il était au courant du plan foireux de Bill pour m'avoir. Je garder une certaine vigilance envers lui.

Bill a à nouveau poussé un cri de rage en bousculant le reste de la radio sur le sol grâce à son pied, depuis le haut des escaliers, j'ai entendu une voix un peu plus grave hurler depuis une chambre: « Bill, halt bitte die Klappe! » qui voulait très clairement dire à Bill de de se taire, d'un ton grossier.
« Gib mir keinen Befehl. Ich kann alleine zurechtkommen, ich bin kein Kind! »

"Ne me donne aucun ordre. Je sais me débrouiller seul, je ne suis plus un enfant„

« Aber du bist der Einzige, der unsere Hilfe für den Rest deiner Tage braucht! »

"Mais tu es le seul à avoir besoin de notre aide pour le restant de tes jours!„

J'ai remarqué l'expression de Bill devenir de plus en plus énervé. Il était fou de rage, il a dévalé les escaliers en se dirigeant vers la chambre en question, défonçant la porte de celle-ci.
Deux garçons commencés à crier. Bill, et un autre homme dont je connais le nom.
J'ai regardé Georg de manière confuse mais celui-ci n'a fait que de soupirer.

Crépuscule ou l'humeur du soir [B.Kaulitz]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant