« Comment ça "numéro 13"? Bill, explique-moi... »
Freyja avait saisit mes mains en me regardant, inquiète, j'ai lancé mon regard sur le côté, honteux, alors que Tom garder ses mains dans ses poches en jouant avec son piercing sur sa lèvre inférieure.
« J'aimerais que tout le monde sorte de cette pièce. Hormis Freyja. »
Tom a seulement hocher la tête en virant toute les personnes qui étaient dans la pièce. Je me suis relevé en prenant un comprimé, je ne voulais pas refaire une crise, et de m'acharner sur elle. A nouveau. La mort du fœtus reste gravée dans ma mémoire, il ne veut pas s'enfuir.
« Comment voulais-tu l'appeler ?
—Hein ? -Elle a relevé la tête vers moi.
—Notre... notre enfant ..? - Il y a eu un silence, elle a jouer avec ses doigts avant de me regarder.
—Si c'était un garçon, j'aurais aimé l'appeler Loki.
—dieu de la discorde, de la malice, du mensonge, de la ruse et du parjure? Et pourquoi?
—Il aurait grandit dans le mensonge. Et de plus, Loki est un dieu que j'ai beaucoup prié en Allemagne.
—Ah bon ?
—Je me faisait harceler en Allemagne, je l'ai beaucoup prié pendant une année, j'avais trop peur d'agir seule. Il est venu à mon aide comme je lui avait supplié.
—J'aurais aimé le savoir plus tôt.
—Bill...
—Si je l'avais prié comme tu l'avais fait. Peut-être que je n'en serais pas arrivé jusque là. On aurait pu se revoir, se rencontrer à nouveau dans de meilleurs conditions. Je n'aurais pas été malade.
—Bill. Je t'ai rendu malade. Pas les autres enfants. Mais oui, Loki aurait pu t'aider si tu été harcelé.
—J'étais le souffre douleur le plus adoré de l'école. Toute ma vie.
—Ils te faisaient quoi? Les enfants, et les adolescents ? »Je l'ai regardé alors qu'elle me regardait d'un air inquiète, les larmes aux bords des yeux. J'ai baisser le regard en remontant mes manches. Je lui faisait voir mes cicatrices, mes nombreuses brûlures qui était cacher de pansement. J'avais tout enlevé pour qu'elle puisse voir. Ses yeux se sont écarquillés. Elle a caché sa bouche avec ses mains.
« Je peux ?
—Oui. Tant que c'est toi. »Elle doucement saisit mon bras droit qui contenait le plus de brûlures. Ses doigts fins l'on caresser.
« Comment..?
—On m'avait emmené jusqu'au gymnase. On m'a brûlé avec un fer à lisser extrêmement chaud. C'était un groupe d'amis qui adoré se sentir supérieur, ils étaient persuadés de réussir leur vie. Le reste. C'est moi qui les ai faite.
—Oh dieux...Bill, quel âge avez-tu ?
—12 ans. Je venais d'entrer au collège. Tom n'en savait rien. Et il ne le sait toujours pas. Je n'assume pas ses blessures. Tu es la seule à le savoir à présent.
—Que sont devenus ses gens...?
—Je les ai tués, c'était mon premier meurtre avec les garçons. On avait 17ans.
—Pour l'amour des dieux Bill, dit-moi que tu n'as pas recommencé...
—J'aurais aimé, mais tu l'as vu de toi même. »Des larmes on finalement fait leur trajectoire sur son visage. Ma seconde main c'est posé sur sa joue pour lui effacer le maximum. Elle m'a directement prise dans ses bras. Je n'ai plus osé bouger.
Freyja est une âme douce, innocente, pure et calme. Elle ne mérite que l'amour du monde et des dieux. Et je l'ai toujours pensé. Depuis notre premier regard.^^
« Hé le nazi! — Margot avait claqué mon casier pour le refermer, afin d'avoir mon intention sur elle. Tu ne peux pas me passer tes cours d'allemand? J'ai rien compris, et vu que tu es allemand, c'est la matière la plus facile pour toi.
—Non, j'ai travaillé dure dessus.
—Ce n'était pas une question. Tu sais où nous rejoindre. »Elle est partie rejoindre ses amies alors que je l'a regardé partir au loin. Je l'ai toujours détesté. Du plus profond de mon être. J'ai ouvert mon casier en rangeant mon cahier d'allemand. Il était hors de question que je lui donne les bonnes réponses.
VOUS LISEZ
Crépuscule ou l'humeur du soir [B.Kaulitz]
FanfictionFreyja, née des amours d'Helga et Ivar, deux amants qui se sont rencontrés, mariés et vécus en Norvège , dans un village encore très croyant de l'Ásatrù; un village très proche de la religion polythéiste de leur terre. La naissance de Freyja marque...