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Wa'Salam Aleykum
P D V. LAYLA

Je me débattais comme je pouvais mais il s'en foutait.

Zakarya : Sale pute arrête de bouger

Il allait continuer quand il s'arrête d'un coup, j'en profite pour aller en courant dans la salle de bain et je m'enferme à cles.

J'étais sous frisson comme jamais, je pleurais aussi..

Je m'approche de la douche et je me lave avec le peu de force qui me restait, j'étais juste en pleure.

En sortant de la salle de bain je vérifie bien que Zakarya est partie et je pars m'habiller..

J'avais plus la force de m'habiller, mais bon.

Je met suis mie un bas noir large et un tee short gris, puis je m'assoie et repense à commencer on a pue en arriver là..

J'ai clairement passer ma nuit à pleurer, j'avais si mal.

J'avais l'impression d'avoir était détruite à coup de coureurs tellement sa faisais mal au cœur.

Je me suis endormie en pleure.

LE LENDEMAIN
09:56

Je me suis réveiller j'étais creuver comme jamais, j'allais me lever quand je me suis souvenues de la scène avec Zakarya, tout de A à Z..

Astarghfirou-Llah.

Je recommence à trembler et a pleurer, je sèche vite mes larmes et j'essaye de penser à autre chose mais j'y arrive pas.

J'avais la scène qui revenais en boucle dans ma tête.

: Layla

Je lève la tête sur Zakarya, il se tenait la comme si de rien n'étais.

- Me touche pas, c'est bon laisse moi.

Zakarya : Ferme ta gueule y a Yasmine qui veut te parler, tu lui dis que je t'ai emmener à un endroit tranquille et que t'es bien ok ?

- Mh.

Il me passe son téléphone avant t'appeler j'ai pue voir des « kehba 2 » « kehba d'Espagne » « pute préférée »

Je le regarde super mal, il me rend le regard.

Bref j'appuie sur Yasmine, elle répond.

Yasmine : We Zakarya ?

— C'est Layla habiba

Yasmine : Ayah ma star ça va ?

— El hamduliLlah et toi habiba ?

Yasmine : Ça va on est dans une villa a djerba, Azra et Aymen ils dorment en plus je m'ennuie trop, sinon t'es bien avec Zakarya ?

Zakarya me regarde droit dans les yeux, je lui lance un regard noir, je voulais même pas le voir, il et je me dégoûtais.

Il m'avais clairement salie.

La souffrance de nos cœursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant