La souffrance de nos cœurs

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Wa salam aaleykum.

Bonne lecture.

CE CHAPITRE CONTIENT DES VIOLENCES !

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L A Y L A.

: Bien sûr que oui Layla.

Cette voix.

La voix de Ried.

— Ok, et pourquoi tu es cagoulé ? C'est humiliant.

RIED : La pute prend de la confiance, c'est bien.

— ...

Je n'ai rien dit par peur de me faire frapper, j'ai juste fait la première chose m'étant venue à la tête, claquer porte.

Lorsque je reçois  un appel , je regarde par le judas, ried était partit et al hamdulilah.

APPEL EN COUR.

ZAKARYA : qui a sonner à la porte ?

Il l'a dit d'un ton assez sec ce qui faisait peur.

— Personne.

J'avais peur, peur des conséquences pouvant arriver.

ZAKARYA : ferme ta gueule si c'est pour me mentir.

— Puis quoi encore ? Ce n'est pas des mensonges ?

ZAKARYA : tu vois en ce moment, je suis gentil et assez calme ok? Mais continue à mentir je vais te forcer à dire la vérité, car tu commence a me vénère sincèrement.

— ...

Ce ton, la manière dont il l'a dit m'a fait assez peur, je me suis contenter de raccroché.

Mais en raccrochant les appels ont commencer à ce faire de plus en plus, j'ai éteint mon téléphone.

J'allais me rendre dans ma chambre lorsque j'entends une vitre ce casser.

Wesh ?

BismiLlah.

Je rentre dans la chambre, la vitre casser avec un homme devant celle ci.

: Tu penses pouvoir esquiver ces problèmes pendant aussi longtemps, ne t'inquiète pas Layla.

Sa voix, une voix remplit de haine comme de cruauté.

Il s'approche de moi, passant sa main sur mon visage.

Puis il me met une violente gifle.

Un violent coup, ce qui m'a choquer.

Il me poussa violemment contre le mur.

S'approchant de moi, je ne savais même pas qui c'était la peur commençait à régner en moi.

Il se met sur moi, j'essayais de le bouger de mon corps mais il me mettait des violemment coup a chaque fois que je bougeais.