La souffrance de nos cœurs

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WA SALAM ALEYKUM.

BONNE LECTURE

🥀.

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L A Y L A

Zakarya : nbrik, kanmout 3alik.

J'allais répondre quand je sens que je vais vomir, je cours au toilette pour vomir.

Zakarya me tenait les cheveux.

[ ... ]

J'écoutais la discussion téléphone de Zakarya, il disait qu'il ne pouvait pas aller chercher Yasmine et Azra seule et qu'il lui fallait un genre féminin.

Zakarya : Ma femme ? T'sais pas ce que ces fils de pute peuvent lui faire, ils sont pire que Salid ou Ried, même plus cruel que moi, il la tue sans pitié.

— Tu me sous estime beaucoup trop.

Il porte son regard sur le mien, je sourie en le regardant de bas en haut.

— Ils me tueront pas.

Zakarya coupe son appel et s'approche de moi, les frissons que j'ai eue à ce moment.

Il passe sa main sur mon visage et arrange un de mes cheveux qui était sur mon visage.

Il était torse nue, il est surtout très musclés.

Zakarya : Tu regardes quoi la ? Sa t'impressionne autant ?

Oui, sa m'impressionne, mais je ne vais pas lui dire si c'est pour qu'il me fasse après.

— Non, c'est rien contrairement à tout ce que j'ai pue voir.

Il me regarde, d'un regard.. tellement envoûtant que je ne saurais pas m'expliquer.

Zakarya : Ta vu ceux de qui, je dois chercher les armes pour encore en tuer, putain.. sa devient fatiguant un peu.

— De personne, que les tiens.

Zakarya : C'est bien ce que je voulais entendre.

Son corps proche du mien, ses lèvres touchent les miennes et nos souffle coopérèrent.

— J'ai réussit a t'embrasser alors..

Zakarya : Tu ne vas pas y aller.

— Et bien, pourquoi ?

Zakarya : Il te tire une balle, c'est finit pour toi. Ils sont pire que Salid et Ried, plus cruel que mon père en lui même.

J'avoue que son père avait l'air d'un homme cruel.

— Je te jure que je ne mourrais pas, je me défend comme tu me l'as appris et comme je les presque toujours fait, faut juste que je sois bien armée et c'est carrer.

Après au moins plusieurs heure à réclamer il a céder.

— JURE TU DIS OUI ?!