La souffrance de nos cœurs

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Salam Aleykum !
Bonne lecture

: T'es sur qu'elle ne peux rien faire ? Ni bouger ni voir ni parler ?

: Oui ! Je te dis que oui !

: Tant mieux

J'avais reconnue la voix d'un homme, c'était ce Kerim ?

J'entends les pas s'approchait de moi, puis je sens qu'on touche mon corps.

J'essayais de bouger mais j'y arrivais pas, j'avais l'impression de parler mais aucun mot ne sortait de ma bouche.

J'avais peur qu'il fasse des choses que personne ne mérite.

Je le sens bouger mon corps, j'arrivais pas à voir ce qui se passait.

Puis, j'ai sentie ces mains sur différentes parties de mon corps.

Puis, il commence a toucher des parties, si vous l'auriez bien compris de quel partie il s'agissait.

J'avais envie de pleurer, mais j'y arrivais pas, c'est pas humain.

Clairement pas humain.

: Quand on a l'argent, les gens font tout pour nous, tu penses que Hiba va te laisser te faire bz pour quoi ? Pour de l'argent.

L'argent rend fou à ce point là ?

Je sentais mon corps tremblait, c'est pas humain, pas humain de faire autant souffrir une personne qui n'a rien à voir dans ces histoires.

Je sentais mes vêtements se retirer, je n'arrivais pas à bouger, je ne pouvais rien faire.

J'allais pas supporter, c'était la fin à mes yeux, juste ressentir les mains me faisait mal, je me sentais sale.

Jusqu'à ce que j'entende des coups de feu.

Je voyais flou, très flou, mais j'ai pue voir un corps qui tombait au sol, et du sang qui sortait de ce corps.

Je sentais mon corps être transportais, pitié je voulais savoir c'est qui et à quoi ressemble ce Kerim !

Puis.. je ne sais pas vraiment ce qui s'est passer, j'entendais plus rien, je ne sentais plus rien, comme une perte de conscience.

J'aurais sue la suite, j'aurais préférer ne pas me réveiller.

2 MOIS PLUS TARD.

: Layla ?
: Layla ?
: Layla ?
: Elle se reveille !

Une voix calme qui représente des soulagements, je ne comprenais rien.

— Mh..

C'est tout ce que j'arrivais a dire, un effort Layla.

Je voyais assez flou tout de même, mais j'arrivais à distinguer un visage.

Zakarya ? Il n'est pas en prison lui normalement ? Sûrement mon imagination.

Pitié faut que j'ai une explication vite avant que mon cerveau explose.

J'avais super mal.

: Boit sa.

J'ouvre un peu ma bouche, j'arrivais à l'ouvrir entièrement.

Il m'a allongé, puis j'ai sentie de l'eau traversait ma gorge.

J'ai commencée à tousser, on dirait que je m'étouffais.

J'avais des maux de tête, j'ai directe pensée au bébé.

— Ma fille..

: Elle va bien

Cet homme ressemblait vraiment à Zakarya, il me disait tellement quelque chose.