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Wa Salam Aleykum
Bonne lecture !

Zakarya : Ferme ta bouche s'il te plaît et ne fait pas de bruit, sinon on est tout les 2 morts.

— Qu'est ce que tu me racontes la ?

Zakarya : Pose pas de question.

— Je ne pars pas t-

Il sortit un mouchoir, sur le coup du choque je ne savais pas quoi faire, je suis restée la figée a ne rien faire.

PERTE DE CONSCIENCE.

En me réveillant, je regarde autour, j'étais dans une cave.

Très beau traitement dit donc.

Je m'approche de la porte de cette cave, elle était ouverte donc je les ouverte.

Je monte les escaliers, et rentre dans une pièce fermer.

En rentrant, j'ai pue trouver Zakarya assis, il ne m'avait pas vue mais je l'entendais parler à un homme.

Zakarya : Retrouve le.

: Kerim ?

Zakarya : Exactement, c'est lui qui détient mes sœurs, je te fais confiance pour ne pas le répéter sinon je peux t'assurer que tu es mort.

: Ne vous inquiétez pas Zakarya, je vais faire de mon mieux pour retrouver sa position et retrouver celle de vos soeur ainsi vous pourriez l'attaquer.

Zakarya : C'est bien pour sa que t'es mon préféré dans ceux qui travaille pour moi.

: C'est un plaisir de pouvoir être au saint de votre aide ne vous inquiétez pas c'est ok riri moi qui devrait vous remercier de me payer autant.

Je toque.

Zakarya : Tu peux partir, laisse la rentrer

L'homme partit dès que je suis rentrer.

— C'est quoi sa ? Je me réveille dans une cave.

Zakarya : C'était pour pas qu'on nous retrouve.

— Ok et en quoi l'idée ? Fin je suis sortie de cette cave, tu las même pas bien fermer.

Zakarya : Désolée Layla.

— Mmh.. ce n'est rien, mais dit moi seulement pourquoi ? Pourquoi tout ces problèmes, pourquoi t'a tout ces problèmes Zakarya, comment ta eue ses problèmes avec des gens autant fou comme dangereux.

Zakarya : Nayse, si c'est pour me dire sa la porte est juste à côté de toi, tu sais comment l'ouvrir et la fermer je suppose car je n'es pas marier une connaissante en rien.

— T'es énervant.

Zakarya : Car tu penses que tu ne l'es pas ? Aussi ta mère a appeler et ta copine aussi, mais ta copine je la sens pas trop.

— Ok! Je m'en fou que tu l'as sente ou pas, sent les éviers au passage, bref je vais rappeler ma mère alors.

Je pars de cet sale, sa m'énervait le fait qu'il ne disais rien, peut être qu'avec le temps quand tout sa sera terminer il va se décider d'ouvrier sa bouche.

J'appelle ma mère.

— Salam Aleykum yemma, ca va ?

Yemma : Aleykum Salam benthi, c'est vrai tie en vacance ? Ey ey ey t'es gâter toi

— Mdrrr oui désolée si j'ai pas pue te contacter ces derniers jours j'avais casser mon téléphone.

Yemma : C'est rien benthi, Zakarya m'avait prévenu que tu allais pas pouvoir répondre, juste ta copine Malak elle est bizarre chwiya.

La souffrance de nos cœursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant