La souffrance de nos cœurs

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WA SALAM ALEYKUM.

BONNE LECTURE.

🥀.

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L  A Y L A.

J'allais monter dans la voiture plutôt.

Jusqu'à ce que je me rende compte que ce n'est pas seul de Zakarya, je m'éloigne de celle ci.

Mais la voiture s'approche, ce n'était pas Zakarya, mais son ennemie.

: Prenez la avec qu'elle parte, dépêchez vous j'ai pas que sa a foutre d'attendre.

— Je t'entends, tu sais ?

L'un des hommes sort de cet voiture, je pars.

Je prépare une arme au cas où, je me trouvais derrière un buisson, je vérifie qu'elle est bien charger et que personne n'est proche.

J'entends des tirs proche, me dites pas que c'est eux.

Je sens les tirs s'approcher de plus en plus.

: Sans te mentir, c'est une très mauvaise cachette et assez dangereuse.

J'avais reconnue la voix de Zakarya.

Je tourne la tête en voyant Zakarya.

— Yasmine et Azra !

Zakarya : Elles ont était emmener au Maldives.

Attendez, aussi loins.

— Maldives.. c'est à au moins 5h d'ici.

Zakarya : Lève toi avant que sa te tire dessus.

Je me lève, il prend l'arme que j'avais à la main et tire sur quelqu'un.

Mais, c'est qui ?

Zakarya : Viens, perd pas de temps.

Il m'attrape le bras et m'emmène en direction d'une voiture.

— Tiens moi moins fort s'il te plaît.

Zakarya : C'est quoi ton problème la ? Tu veux te faire tirer bêtement ?

— Non.. mais s'il te plaît tu me fais mal tiens moins fort.

Zakarya me regarde avec un regard.. tellement doux.

Il lâche mon bras et me fait rentrer dans la voiture.

Je regarde mon bras, une grosse trace rouge, il m'avait tenue grave fort.

J'avais encore mal au bras, c'est qu'elle genre d'humain pour serrer comme sa, il avait même pas mis un quart de sa force que j'en avais envie de pleurer.

Zakarya : qu'est ce qui y'a ?

Il regarde mon bras et il comprend, je vois bien qu'il se retient de rigoler.